Les États-Unis ont rejoint Israël dans la guerre contre la République islamique d’Iran. Illégitime et illégale au regard du droit international que les grandes puissances invoquent quand il s’agit de défendre leurs intérêts, cette guerre mène le Moyen-Orient vers la catastrophe.

Téhéran et de nombreuses villes sont bombardées quotidiennement. Ces attaques visent des cibles militaires mais aussi des zones résidentielles. Il y a des centaines de morts dans la population civile, des milliers de blessé·e·s, des dizaines de milliers de déplacé·e·s.
Israël détruit des infrastructures civiles. Ses attaques contre les dépôts de carburant et les raffineries causent des dégâts majeurs.

Les bombardements israélo-étatsuniens contre les installations nucléaires, contraires au droit international, menacent de provoquer des dommages écologiques et humains irréversibles.
Une menace pour l’ensemble des peuples du Moyen-Orient
Alors que la politique criminelle de Netanyahou provoque un rejet massif partout dans le monde, cette agression est aussi une tentative de détourner l’attention du génocide en cours à Gaza. Mais cette guerre a également pour but de remodeler la région par la mise en place de régimes favorables aux intérêts israélo-étatsuniens.
Netanyahou, dont l’armée occupe une partie du Liban et de la Syrie, est une menace pour l’ensemble des peuples de la région. Lui qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt international doit être arrêté au plus vite et traduit en justice. Au lieu de cela, la France et les puissances occidentales lui vendent des armes, lui apportent soutien diplomatique, financier et militaire. Les États-Unis, l’État français, l’Union européenne sont complices du génocide et des guerres provoquées par Israël.

Nous sommes solidaires des peuples qui paient un lourd tribut à cause des guerres impérialistes.
C’est aux peuples d’Iran de décider de leur avenir
Nous sommes au côté des peuples d’Iran, qui n’ont jamais cessé de lutter contre la dictature qu’est la République islamique. Nous sommes à leur côté face à l’agression israélo-étatsunienne.
Le courage des peuples d’Iran a été démontré à de nombreuses reprises lors des manifestations et mouvements de femmes, de travailleurs, de retraité·e·s, de militants écologistes, de minorités nationales.
La République islamique profite de la guerre pour réprimer davantage la société iranienne. Cette guerre est un coup porté aux mouvements sociaux et démocratiques qui, ces derniers mois, étaient dans une phase ascendante. Nous soutenons les organisations et militant·e·s en Iran qui réclament l’arrêt immédiat de la guerre et la fin de la République islamique. Nous soutenons toutes celles et ceux qui luttent en Iran pour l’égalité, la liberté et la justice sociale.
Construisons un vaste mouvement contre les guerres impérialistes, le colonialisme et le militarisme !

- samedi 15 novembre à 14h30 : Conférence d’Agnès Levallois, autrice de « Le livre noir de Gaza », Centre Jean Vilar à Angers.
- samedi 22 novembre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du Ralliement à Angers (lieu à confirmer).
- samedi 29 novembre : journée mondiale de solidarité avec la Palestine et
manifestation à 14h à Paris, place de la République. Départ en autocar organisé par l’AFPS49 : Inscriptions sur helloasso à 35€.
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Comme partout en France jeudi 2 octobre, dans l’urgence, un rassemblement de solidarité avec les membres de la Flottille pour Gaza (Global Sumud Flotilla), arraisonnée illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne, avait été appelé à Angers par l’AFPS49 et ses partenaires, à 18h30 place du Ralliement. Le nombre de personnes rassemblées a rapidement gonflé de 200 au début jusqu’à 300. Ce fut un rassemblement dynamique et très visible. Malgré tout, alors que le génocide est plus que jamais en cours à Gaza, la solidarité en France reste très inférieure à ce qu’elle est ailleurs au niveau international. Il faut donc plus que jamais mobiliser autour de nous, notamment face à un État français décidément complice des crimes de guerre du gang fasciste de Netanyahou, un État qui ne proteste même pas quand le droit maritime international est foulé aux pieds par des pirates israéliens en uniforme...
Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE (FO n’avait pas signé l’appel départemental et a défilé en fin de cortège). C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
Entre 230 et 250 personnes contre le massacre à Gaza cet après-midi du samedi 30 août, place du Ralliement, à Angers, avec les organisations habituelles : L’AFPS organisatrice de l’action depuis bientôt 2 ans, Mouvement de la Paix, PCF, JC, Amnesty international, LFI, UCL et NPA-A. Rendez-vous pris, pour samedi prochain.
Samedi 26 juillet 2025, au moins 220 Angevins ont de nouveau répondu présent pour le rassemblement hebdomadaire de la place du Ralliement. En préambule, l’AFPS49 a signalé qu’Angers avait eu la visite le 24 juillet de tout un aréopage de ministres dont le premier d’entre eux. Nous avions demandé audience, soit auprès de Mr Bayrou, soit auprès du ministre du commerce extérieur et des Français de l’étranger, Mr Laurent Saint-Martin. La préfecture a bien relayé et appuyé notre demande mais les ministres ou leurs conseillers n’ont pas daigné nous recevoir. Un rendez-vous téléphonique avec la conseillère de M. Saint-Martin nous a été promis pour le lendemain. Il n’a pas été honoré. Manque de temps ou manque de courage pour assumer la position de non-action de la France ? Des paroles, oui mais sans effets concrets. Alors où sont les actes forts et contraignants pour stopper enfin la famine organisée comme arme de guerre par Israël contre le peuple palestinien ? Dans le même ordre d’idée, nous avons évoqué l’annonce faite par le président de la République de son intention de reconnaître l’État de Palestine en septembre prochain lors de l’Assemblée générale de l’ONU. Pourquoi pas immédiatement alors que le parlement français a voté en ce sens il y a plus de 10 ans ? Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de voir mourir de faim plus de 2 millions de Gazaouis d’ici là ! Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de reconnaître un État de Palestine qui ne sera plus qu’un cimetière ! Le communiqué de l’AFPS du 25/07 a été lu et commenté. Si aujourd’hui l’opinion mondiale oblige les responsables politiques à enfin bouger, c’est pour partie du fait de notre mobilisation indéfectible depuis 22 mois. Nous en avons conscience et c’est ce qui nous fait tenir, encore et encore. Puis une militante a lu le poème écrit à Gaza il y a quelques jours par Ziad Medoukh intitulé « La faim », texte qui nous a tous bouleversé. Deux autres militantes ont lu le long et poignant témoignage de Nour Elassi, jeune Gazaouie exfiltrée de Gaza par la France au début du mois. Elle est maintenant étudiante à Paris mais se sent coupable d’avoir laissé sa famille et ses amis. Nous en avons retenu : « J’ai l’impression d’avoir laissé mon âme sous les décombres et maintenant j’ai peur que quelqu’un marche dessus » et « Pour l’occupant, les mots sont plus dangereux que les balles ». Pour terminer nous avons tous ensemble écouté et chanté l’hymne palestinien « Mawtini » (Ma patrie).
Une nouvelle Pétition adressée au premier Ministre par l’intersyndicale CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, FSU, SOLIDAIRES peut être signée en ligne, qui exige l’abandon des mesures de régression sociale et écologique annoncées par F. Bayrou. Pour ses rédacteurs, le problème de la dette, c’est d’abord le manque de recettes et il faut « ouvrir la discussion sur la progressivité de la fiscalité, la contribution des hauts revenus ou des patrimoines, et la légitimité de l’optimisation fiscale ! ». Il faut aussi mobiliser à la base pour créer un rapport de forces dans les lieux de travail et dans la rue. À cet égard, signer la pétition intersyndicale peut être un premier pas et donner confiance à toutes celles et tous ceux qui n’en peuvent plus de ce gouvernement aux ordres des capitalistes. Signons-là !