Contre le TSCG, 80.000 dans la rue !

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La manifestation du 30 septembre contre le TSCG appelée par un collectif d’une soixantaine d’organisations politiques (Front de gauche, NPA), syndicales (fédérations CGT, FSU, Solidaires) et associatives (Attac, Copernic...) a, selon les organisateurs, réuni 80.000 personnes entre la place de la Nation et la place d’Italie à Paris. [3] Deux cars de manifestants avaient été affrétés à Angers [4]. C’est un premier grand succès de la mobilisation unitaire contre un traité qui vise, au seul bénéfice des rentiers, à instaurer l’austérité perpétuelle en Europe en cassant les services publics, le droit du travail et les salaires directs ou socialisés. Un succès qui appelle à d’autres mobilisations !

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Banderole de tête
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Les Fralib !
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Le Bloc de gauche portugais était là aussi !
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Poitiers dans la rue !
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Limousin en lutte !
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Le Sud-Ouest venu de loin !
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Le Var est rebelle !
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Le 20e dans l’action !
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Ballon FSU et pancarte féministe
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La CGT du 9-3 !
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Cortège CGT
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Une pancarte et un drapeau macédonien
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Cortège de Solidaires
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Dans le cortège de Solidaires
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Pancartes diverses
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Droit au logement !
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Cortège du NPA
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Citations :
-  Olivier Besancenot : « Il nous faut assumer le statut d’opposant politique à la gauche de la gauche. Sinon on laisse le terrain à la droite et à l’extrême-droite. »
-  Philippe Poutou : « C’est peut-être le début d’une bataille unitaire durable pour la lutte contre les licenciements et contre la casse de la protection sociale. Mais pour aller plus loin, il faudra arriver à faire tomber les barrières ! Et il y a encore pas mal de méfiance entre les mondes syndicaux, associatifs et politiques. Au sein du mouvement syndical ça tiraille de partout. L’unité aussi c’est une bataille. » « Si on est contre l’austérité et que le gouvernement est pour l’austérité, on est contre le gouvernement ! »

30 septembre 2012, par NPA 49

[1] Bizarrement, la police n’a pas fait de comptage, comme s’il s’agissait de minimiser une fois de plus cette manifestation (sur laquelle les médias bourgeois se sont quasiment tus, avant, pendant et après !). Pour notre part, nous avons observé pendant deux heures, Boulevard Diderot, un cortège avec un flux soutenu et interrompu de 5 à 10 personnes par seconde, soit entre 35.000 et 75.000 personnes, ce qui n’est pas si mal !

[2] dont un car par le POI sur des bases autres que celle du collectif unitaire angevin

[3] Bizarrement, la police n’a pas fait de comptage, comme s’il s’agissait de minimiser une fois de plus cette manifestation (sur laquelle les médias bourgeois se sont quasiment tus, avant, pendant et après !). Pour notre part, nous avons observé pendant deux heures, Boulevard Diderot, un cortège avec un flux soutenu et interrompu de 5 à 10 personnes par seconde, soit entre 35.000 et 75.000 personnes, ce qui n’est pas si mal !

[4] dont un car par le POI sur des bases autres que celle du collectif unitaire angevin