Près de 300 manifestants ont défilé dans les rues du centre-ville d’Angers, samedi 18 décembre après-midi, à l’appel de DAL-49 et le soutien d’associations, syndicats et partis, dont le NPA49. Contre cette nouvelle loi liberticide, ultra-sécuritaire et agressive vis à vis des populations les plus défavorisées, notamment sur les questions de logement, la mobilisation doit de toute urgence être amplifiée.
Donner pour la souscription du NPA c’est soutenir notre action, nous encourager et joindre votre voix aux nôtres. Être solidaire du NPA en donnant à la souscription c’est aussi soutenir la publication de « Tout est à nous ! » hebdomadaire et mensuel du NPA pour diffuser, débattre, s’informer de l’actualité sociale et politique.
Une phase s’est achevée en novembre dans le grand mouvement pour la défense des retraites par répartition : loi votée par un parlement UMP contre l’avis de l’immense majorité de la population, repli de la mobilisation en attente de nouvelles perspectives de lutte. C’est le moment de revenir sur ce qui a constitué le plus puissant mouvement social des dernières années, notamment en Maine-et-Loire. Analyse d’un militant du NPA49...
Un collectif angevin “Un bateau français pour Gaza” a vu le jour pour relayer le projet d’affrètement d’un navire français dans la flottille qui, au printemps, tentera d’apporter une aide humanitaire à la population de Gaza victime du blocus israélien. Après une conférence de presse mercredi 24 novembre, un rassemblement s’est tenu samedi 27 novembre afin de collecter les premiers fonds.
La journée nationale interprofessionnelle de mobilisation du mardi 23 novembre, à l’appel de CFDT, CGT, FSU, Solidaires et UNSA, a réuni 800 manifestants à Angers depuis le siège du Medef jusqu’à celui de l’UMP, 300 à Cholet depuis la Place Travot vers la permanence du Député-Maire de droite extrême G. Bourdouleix, 160 à Saumur et une centaine à Segré.
A l’issue de sa réunion des 13 et 14 novembre, le Conseil politique national (CPN) du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) a adopté la déclaration « À celles et ceux qui luttent et qui ne lâchent rien ». Verbatim...
En cet automne 2010, moins de deux ans après le puissant mouvement contre la mastérisation et le décret remettant en cause le statut des enseignants-chercheurs, la résignation semble régner sur les campus. Pourtant, il y a urgence à bloquer la restructuration ultra-libérale de l’université mise en oeuvre par le gouvernement et relayée, nolens volens, par les présidents d’université. Analyse...
La phase du mouvement consistant en des journées de grèves et de manifestations contre la réforme des retraites s’achève. Mais la colère contre le gouvernement et les patrons demeure élevée. La résistance pourrait désormais prendre d’autres formes, mais une chose est sûre, ces mobilisations laisseront des traces.
En dépit du vote au parlement et d’un matraquage médiatique outrancier sur le thème : « la mobilisation est finie », ce sont des milliers de personnes qui ont manifesté à Angers (6000), Cholet (1800), Saumur (650) et Segré (200) samedi 6 novembre au matin. La lutte continue contre une réforme antisociale qui dégrade une nouvelle fois le partage des richesses entre l’immense majorité des producteurs, les salariés, et une petite minorité parasitaire de capitalistes et de leurs commis. Octobre 2010 n’était qu’un prélude !
La Guerre d’Algérie est revenue sur le devant de la scène avec la sortie du film « Hors-la-loi » de Rachid Bouchareb, dont la présentation au Festival de Cannes avait donné lieu à de vigoureuses manifestations d’extrême-droite (incluant les représentants locaux de l’UMP, dont le député Lionnel Luca), et le passage sur France 3, dimanche 17 octobre, du film « Nuit noire, 17 octobre 1961 » réalisé par Alain Tasma. C’est l’occasion de rappeler quelques points d’Histoire.
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- samedi 15 novembre à 14h30 : Conférence d’Agnès Levallois, autrice de « Le livre noir de Gaza », Centre Jean Vilar à Angers.
- samedi 22 novembre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du Ralliement à Angers (lieu à confirmer).
- samedi 29 novembre : journée mondiale de solidarité avec la Palestine et
manifestation à 14h à Paris, place de la République. Départ en autocar organisé par l’AFPS49 : Inscriptions sur helloasso à 35€.
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Les militant·e·s et sympathisant·e·s du NPA49 saluent la mémoire de Stéphane Corbin, figure incontestée de la lutte pour l’égalité des droits des LGBTI en Maine-et-Loire, président de Quazar de 2008 à 2013 et de 2020 à 2023, animateur des marches des fiertés qui chaque année réunissent à Angers des milliers de personnes, dont une grande majorité de jeunes. Les obsèques de Stéphane se tiendront vendredi 31 octobre à 14h, église Saint-Martin-des-Champs à Angers. Salut à toi, Stéphane !
Un nouvel exemple vient d’être donné des liens étroits entre le groupuscule d’extrême droite Red-Angers et « Les Blancs de l’Ouest », charcutiers-entrepreneurs nationalistes chouchoutés par la municipalité d’Angers (ils ont un stand aux Halles Biltoki). Depuis octobre en effet, la personne embauchée pour tenir le stand aux Halles Biltoki et dans les marchés de Bouchemaine et Chalonnes, n’est autre qu’un néo-nazi connu pour avoir été un ambassadeur du Red lors de rassemblements fascistes (récupération honteuse du meurtre de la jeune Lola, « marche [néonazie] de Lukov » en Bulgarie, Légion hongroise, Academia Christiana, Institut Iliade, etc.) Le RAAF vient de publier à son propos un article instructif que l’on peut lire ICI.
Il y a aujourd’hui 82 ans que le résistant internationaliste nantais Robert Cruau était abattu à Brest par la Gestapo. Huit décennies après sa mort, Robert Cruau reste pour beaucoup un inconnu. Il fut pourtant un militant ouvrier internationaliste exceptionnel. Son histoire exemplaire reste à écrire. Lire la suite ici.
Comme partout en France jeudi 2 octobre, dans l’urgence, un rassemblement de solidarité avec les membres de la Flottille pour Gaza (Global Sumud Flotilla), arraisonnée illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne, avait été appelé à Angers par l’AFPS49 et ses partenaires, à 18h30 place du Ralliement. Le nombre de personnes rassemblées a rapidement gonflé de 200 au début jusqu’à 300. Ce fut un rassemblement dynamique et très visible. Malgré tout, alors que le génocide est plus que jamais en cours à Gaza, la solidarité en France reste très inférieure à ce qu’elle est ailleurs au niveau international. Il faut donc plus que jamais mobiliser autour de nous, notamment face à un État français décidément complice des crimes de guerre du gang fasciste de Netanyahou, un État qui ne proteste même pas quand le droit maritime international est foulé aux pieds par des pirates israéliens en uniforme...
Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE (FO n’avait pas signé l’appel départemental et a défilé en fin de cortège). C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
À l’école Dacier d’Angers est expérimentée depuis la rentrée une « rue école » fermée à la circulation des voitures de 8h20 à 8h50, afin que les enfants puissent y arriver tranquillement. Il n’y a pas encore d’installation permanente et ce sont les parents d’élèves qui tiennent la barrière avec un gilet jaune. Cette expérience - prévue pour le moment jusqu’à décembre - semble concluante et bien acceptée. Mais voici qu’au matin du 18 septembre, une voiture de la police nationale déboule en trombe dans la rue, alors même que les enfants sont en train de rentrer. Apercevant les gilets jaunes des parents, la maréchaussée avait vu rouge, imaginant quelque barrage revendicatif en cette journée de mobilisation nationale... Il a fallu détromper ces fins limiers. Comme quoi la retailleauderie paranoïaque ne développe pas la perspicacité !