Nous publions ici un communiqué de presse de la liste Angers Citoyenne et populaire (ACP) candidate aux Municipales d’Angers. C’est une réaction à l’article gravement diffamatoire du Courrier de l’Ouest sur Djamel Blanchard, de l’association “Pas sans nous” et deuxième sur cette liste soutenue par La France Insoumise, Pas sans nous et le Parti animaliste. Quels que soient les éventuels désaccords que tout un chacun peut avoir avec le programme de cette liste, l’article du Courrier visé est en effet inacceptable (voir à ce sujet notre propre article du 19/01). Le NPA49 assure Djamel Blanchard et la liste ACP de sa solidarité face à la campagne de calomnies menée à leur encontre.
Soutien à notre colistier Djamel Blanchard suite à l’article nauséabond et calomnieux du Courrier de l’Ouest !
Nous, membres du collectif Angers Citoyenne et Populaire, sommes outrés et sidérés des calomnies et graves accusations parues dans le Courrier de l’Ouest du samedi 18 janvier à l’encontre de notre colistier Djamel Blanchard.
Nous dénonçons ici la publication de propos qui accusent ce militant pacifiste et engagé dans la défense des habitants des quartiers populaires d’Angers d’être notamment un “agitateur” qui incite aux feux de voitures et un extrémiste islamique (voire même, à demi-mots, un potentiel terroriste !).
Ces accusations sont outrageantes et portent atteinte à l’honneur et à la dignité de Djamel Blanchard. Elles sont relayées sans preuve par le Courrier de l’Ouest. Elles ont pour objet et pour effet non pas d’informer le public mais d’offenser publiquement Djamel dans son intégrité morale, et de le décrédibiliser dans son action politique avec le collectif Angers Citoyenne et Populaire.
Nous dénonçons également ici des propos qui manifestent une méfiance et une discrimination à l’égard de la réelle ou supposée origine, ethnie ou religion de Djamel.
Nous nous étonnons du fait que ces calomnies soient publiées près de 24h seulement après l’annonce de la candidature de Djamel aux élections municipales de mars 2020 et nous interrogeons sur cette coïncidence.
Face à cette rafale d’insinuations, de ragots et d’accusations graves et sans fondements qui ne sont pas dignes de l’organe de presse reconnu qu’est le Courrier de l’Ouest, nous répondrons ici point par point à cette campagne de déstabilisation et de décrédibilisation d’un honnête citoyen et d’un collectif engagé dans les élections municipales qui de toute évidence dérangent les pouvoirs en place.
Pour commencer, oui, Djamel se fait appeler Djamel… comme de nombreuses personnes qui se choisissent un autre prénom que celui de leur état civil. Cela doit-il être regardé comme suspect ? Le Courrier de l’Ouest reprochera-t-il à “Jean-Philippe Smet” de s’être fait appeler “Johnny Halliday” ou à Nicolas Sarkozy d’omettre son entier patronyme (“Sarközy de Nagy-Bocsa”) ? Est-ce le changement de prénom qui suscite les soupçons du Courrier, ou est-ce l’éventuelle signification confessionnelle que celui-ci révélerait ? Doit-on rappeler au Courrier que chacun est libre de son prénom d’usage ainsi que de sa philosophie personnelle et n’a pas à en rendre compte auprès de la presse. La République Française comme sa presse s’honorent d’ailleurs à ne jamais faire cas des croyances et spiritualités de nos personnalités politiques. Il serait bon que le Courrier poursuive cette tradition.
Ensuite, non, Djamel ne “fuit” pas les médias comme le titre le Courrier et ne préfère pas “rester dans l’anonymat” : quiconque fait une recherche dans les archives de presse papier ou internet pourra trouver des dizaines de références d’articles de presse citant et interviewant Djamel depuis plusieurs années et notamment ces derniers mois (151 références dans le moteur de recherche Google Actualités). Ces références de presse sont diverses : beaucoup d’articles de Ouest France, des interviews sur France Culture, Libération ou Médiapart (où il a également signé des tribunes), ainsi que plusieurs reportages filmés de France 3… Il y défend, comme à son habitude, les droits et la dignité des habitants des quartiers populaires ainsi que des familles roms et des réfugiés de toutes origines et toutes confessions. On le retrouve également sur le terrain en soutien aux écologistes libertaires de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes ou aux opposants aux compteurs Linky. Beaucoup d’exposition publique pour quelqu’un qui chercherait à se cacher des médias.
Continuons, point par point, la réponse à cet article.
Selon le Courrier la plupart de ceux qui connaissent Djamel “le craignent”. Redouté par les élus, Djamel ne s’en prend pas “à toutes les institutions” comme le titre le Courrier, et ne refuse pas de coopérer avec elles. Djamel, en tant que co-président de la Coordination nationale de l’association Pas Sans Nous, a été en contact régulier avec les institutions pour faire avancer les droits des habitants des quartiers populaires. PSN indique d’ailleurs dans sa Charte constitutive que “Pas Sans Nous se positionne comme acteur incontournable du dialogue social avec l’ensemble des institutions pour la co-construction et la co-décision des politiques publiques”. Le co-président de PSN, Mohammed MECHMACHE, rédacteur d’un rapport public à la demande du Ministre à la Politique de la ville en 2013, peut en témoigner. Par ailleurs, Djamel se présente aux élections municipales de 2020 à Angers en position éligible (2e place) pour porter son action au conseil municipal. On a vu pire en matière de sédition face aux institutions...
Nous dénonçons ensuite le vocabulaire dédaigneux utilisé par le Courrier qui écrit que Djamel aurait “rameuté” des membres de la France Insoumise et de la Grande Ourse. Sans aller sur le fond des propos (les militants de LFI et de la Grande Ourse sont assez libres et indépendants pour décider seuls de se rendre à ces voeux), nous dénonçons la formule condescendante utilisée : le Courrier irait-il écrire que lors de cette soirée Christophe Béchu avait “rameuté” tout le gratin de la bonne société angevine, du Préfet à l’Évêque ? Connaissant toute la déférence régulièrement délivrée à M. Béchu par le Courrier dans ses colonnes, nous en doutons fortement.
Plus loin le Courrier évoque les “fantasmes” qui circuleraient à propos de Djamel. La déontologie journalistique obligerait sans doute à vérifier la véracité de ces fantasmes avant de les publier, au risque de tomber dans le colportage de ragots et la diffamation publique.
Ainsi le Courrier évoque le “portrait peu flatteur que les autres dressent” de Djamel. Quels “autres” ? Le Courrier ne le dit pas, nous n’en saurons rien. Les seules personnes citées dans l’article sont des élus politiques dont Djamel dénonce l’inaction depuis des années et contre lesquels il se présente aux prochaines municipales. De là à y voir le dézinguage politique en règle d’un opposant qui dérange, et relayé par le Courrier de l’Ouest, il n’y a qu’un pas...
L’enquête de tous les dangers du Courrier se poursuit : Djamel serait “d’origine martiniquaise” (information éminemment utile apparemment) et ne souhaiterait pas évoquer son travail ou sa vie privée. Cela semble suspect au Courrier, qui ne comprend manifestement pas qu’un opposant politique ne cherche à exposer et mêler à ses affaires publiques, ni sa famille ni son employeur.
D’autres élus cassent ensuite du sucre sur le dos de Djamel, dont Michèle Moreau qui ne le trouve pas assez “constructif”. C’est de bonne guerre. Pour Michèle Moreau, professionnelle de la politique qui a su retourner sa veste dans le bon sens pour obtenir puis reprendre son poste de 1ère adjointe auprès de la “gauche” d’Antonini puis de la “droite” de Béchu. Djamel et son projet de politique citoyenne au plus près du peuple représente une gêne qu’il faut décrédibiliser.
C’est plus loin que les calomnies graves et honteuses apparaissent dans l’article :
Le Courrier insinue ainsi gratuitement et sans preuve que “l’influence” de Djamel serait derrière les récents feux de voiture à la Roseraie. Qui répand ces calomnies, à partir de quels faits, quels témoignages ? Nous ne le saurons pas : le Courrier ne cite rien ni personne, distillant d’énigmatiques sources anonymes.
Le Courrier indique encore ensuite que Djamel “aurait donné des cours de soutien scolaire qui tournaient au cours de Coran”. Non seulement cette affirmation est mensongère mais les raccourcis discriminants assimilant musulmans et islamistes qu’elle sous-tend sont nauséabonds.
Nous rappelons qu’à Angers Citoyenne et Populaire chacun est libre de sa philosophie personnelle et de son expression tant qu’elle respecte l’égalité des droits de toutes et tous et les libertés de chacun et chacune. Ce n’est manifestement pas le cas du Courrier de l’Ouest pour qui le fait de s’appeler Djamel et de supposément donner des cours de Coran semble suffire pour justifier d’être soupçonné de terrorisme djihadiste. Quand bien même, serait-ce un délit de donner des cours de religion dans notre République qui garantit la liberté de culte et d’expression ? Combien de temps les musulmans de France doivent-ils encore subir ces soupçons et invectives immondes à leur encontre ? Le Courrier réalise-t-il des enquêtes pour savoir si dans la majorité de M. Béchu certains n’ont pas déjà donné des cours de catéchisme ? Les mettrait-il ainsi en cause pour ces actions cultuelles ?
Mais le pire est prononcé ensuite lorsque le Courrier évoque les soupçons de “certains” (qui ? nous n’en saurons toujours rien) disant qu’il serait proche “des islamistes”, et de “pratiquer la taqiya” pour “islamiser les jeunes maghrébins”. Ces accusations proférées ainsi anonymement et relayées sans preuve par le Courrier sont graves, honteuses et dangereuses. Rappelons que la “taqiya” est le terme utilisé dernièrement dans les médias pour décrire les terroristes islamistes et djihadistes qui dissimulent leur engagement terroriste avant de passer à l’attaque : le juge antiterroriste Marc Trevidic y fait notamment référence pour expliquer les agissements de Mohammed Merah avant de perpétrer son infâme tuerie de 2012.
Comment le Courrier peut-il ainsi trainer dans la boue l’honneur et la dignité de Djamel en le qualifiant à demi-mots de terroriste islamiste ?!
Plus loin l’article précise que selon les forces de l’ordre Djamel “n’est pas un fondamentaliste” et qu’il n’est pas fiché S (la “fiche S” vise notamment les extrémistes islamistes pouvant porter atteinte à la sûreté de L’État). De quel droit les forces de l’ordre révèlent-elles ainsi de telles informations sur un citoyen honnête et innocent auprès de la presse ? Pourquoi le Courrier se permet-il de révéler publiquement ces non-informations ?
Rappelons ici encore une fois l’étendue des actions de Djamel pour les droits et la dignité des habitants des quartiers populaires ainsi que des familles roms et des réfugiés de toutes origines et toutes confessions. Ses engagements militants et associatifs. Ses dénonciations récentes et publiques sur son compte facebook des incendies en Australie ou de la cavale de Carlos Ghosn, ses citations de Coluche et Martin Luther King, ou son soutien aux actions des Gilets Jaunes. Si loin de ces affabulations délirantes cherchant à faire de lui un extrémiste.
En conséquence nous, Djamel Blanchard et avec lui le collectif Angers Citoyenne et Populaire, mettons ici en demeure le Courrier de l’Ouest de publier un démenti de ces accusations accompagné d’excuses publiques claires et explicites dans ces mêmes colonnes et selon le même format, et de retirer l’article du site internet du Courrier.
À défaut et s’il n’apporte pas la preuve des accusations qu’il profère ni l’authenticité des faits qu’il évoque, nous porterons plainte contre le Courrier de l’Ouest pour diffamation publique et injure publique à caractère discriminatoire.
Nous, membres du collectif Angers Citoyenne et Populaire, humanistes, écologistes, libertaires, républicains, communistes, socialistes, athées, musulmans, chrétiens, juifs, antispécistes, animalistes, espérantistes, blancs, noirs ou basanés, rassemblés derrière les valeurs de solidarité et de démocratie, formulons ici notre soutien entier à Djamel et à son action citoyenne, et lui réaffirmons notre confiance en tant que représentant de notre collectif aux élections municipales de mars 2020.
- du vendredi 24 au dimanche 26 mars : mobilisation dans le Poitou pour la défense de l’eau à l’appel de Bassines Non Merci et des Soulèvements de la Terre. Le 24 : arrivée de tracteurs de toute la France et, le soir, Forum international sur la défense de l’eau avec des délégations de différents pays et continents. Le 25 à 10h : manifestation « Fin de chantier » et, le soir, concerts, banquets et festivités à Melle (79500). Le 26 : assemblées, tables rondes, cantines, balades naturalistes, concerts…
- samedi 25 mars de 16h00 à minuit : Fête de Lutte Ouvrière, Salle Aragon, 1 rue Joseph Bara, Trélazé (arrêt Malaquais du bus n°2).
- mardi 28 mars : grève contre la “réforme” des retraites à l’appel de l’Intersyndicale. Manifestations à 10h à Cholet (pl. Travot) et Segré (pl. du port) ; à 14h à Angers (pl. Leclerc) et Saumur (pl. Bilange).
- mercredi 29 mars à 19h : concert de solidarité avec les grévistes, salle Emstal aux Ponts-de-Cé, organisé par LFI.
- samedi 1er avril à partir de 14h30 : “Huit heures pour la Palestine” au centre Marcelle Menet à Angers.
- dimanche 2 avril après-midi : “Un autre monde est nécessaire”, initiative du Cercle 49 dans la grande salle du centre Jacques Tati de Belle-Beille (Angers). Projection du film Rosmerta.
- Voir aussi Alter49.org, l’agenda alternatif 49, et Le Cercle 49.
Depuis lundi 13 mars, plus aucun camion-benne n’entre ni ne sort du centre de tri des déchets à Saint-Barthélémy-d’Anjou. Les agents territoriaux en grève pour leurs salaires (gelés depuis... 2007 !) et contre la “réforme” des retraites en bloquent les deux entrées, soutenus par l’intersyndicale. Les déchets de toute l’agglo angevine s’accumulent dans les rues de toute l’agglomération angevine. Le maire d’Angers et président d’ALM est aux abonnés absents ou accuse les grévistes de sa propre incurie quant aux risques sanitaires... Il a même déposé un recours en référé contre un syndicaliste et afin de pouvoir avoir recours aux traditionnels briseurs de grève de l’État français, les forces de police. Il serait pourtant plus respectueux des habitant·e·s de l’agglo et d’esprit plus démocratique qu’il entende les revendications salariales légitimes que portent tous les agent·e·s d’ALM depuis de longs mois ! Le NPA49 affirme son soutien complet à la lutte des agent·e·s. Augmentations des salaires ! Retrait de la “réforme” des retraites !
La mauvaise foi du Conseil départemental (CD49) n’est plus à démontrer en matière de laïcité. De Christian Gillet à Florence Dabin, tout est bon pour défendre l’enseignement privé “catholique” aux dépens de l’enseignement public et des demandes des parents. Et à Beaupréau, cela dure depuis des décennies. Si Gillet a été obligé de concéder le principe d’un collège public en face des deux collèges “catholiques” de cette capitale des Mauges, la construction de l’établissement ne cesse d’être retardée. Dabin avait promis son ouverture en 2024. Voilà que sa vice-présidente, Régine Brichet, en recule la date en 2026 ou 2028 ! Dissimulé derrière le masque hypocrite de soi-disant “contraintes” (sic !) qui seraient la cause du “retard”, l’extrémisme sectaire de ces élu·e·s “catholiques” ne connaît aucune limite. Tous les enfants doivent pouvoir s’inscrire dans l’enseignement public dans les Mauges. Et, pour le NPA, les fonds publics doivent aller à l’école publique !
On sait la municipalité d’Angers et la métropole (ALM) hostiles aux transports publics gratuits, les objectifs sociaux et écologiques de la gratuité, déjà à l’œuvre dans de nombreuses villes européennes, étant régulièrement déniés par C. Béchu et ses affidé·e·s. Elle le confirme à nouveau en cette rentrée scolaire où le titre pour 1h passe de 1,4€ à 1,5€ (+7,1%) et un tarif à deux euros est même institué pour celleux qui prennent le ticket directement dans le bus, alors que les distributeurs de tickets n’existent que près d’un nombre très limité d’arrêt de bus. La VP d’ALM “chargée de la transition écologique et des déplacements” Corinne Bouchoux, ex-sénatrice EELV ralliée à Béchu, justifie ces hausses par un “enjeu de justice sociale” (sic) et une grille tarifaire “plus lisible” (cf. OF du 30/08/2022). Comme d’habitude avec les politiciens gestionnaires, les mots prennent le sens contraire de leurs sens initiaux. Quant à la mise en place de titres de transports “dématérialisés” (paiement pas carte bancaire sans contact), son coût pour la collectivité n’est pas évoqué, non plus que son coût écologique... La revendication de transports gratuits pour toutes et tous, qui abolirait le coût de la billetterie et serait un puissant moyen de limiter la circulation automobile (dans la mesure où ces transports seraient étendus) n’en est que plus urgente.
La CLHAM’eur (Collectif de Lutte contre les Halles Angevines et leur Monde) a publié sur le site basse-chaine.info un article intitulé « Le nouveau projet hypocrite de la ville d’Angers : les Halles des Gourmets » et consacré au processus très libéral et productiviste de la mise en place par C. Béchu et ses amis des soi-disant nouvelles « Halles » en béton d’Angers, à proximité de l’esplanade Coeur-de-Maine. Comme le souligne l’article, « c’est une flopée d’argent public (l’argent du contribuable !), qui vient financer un projet porté par des entreprises privées au bénéfice d’une minorité : les consommateurs les plus riches. Des conflits d’intérêt entre public et privé dans tous les sens. Une utilité nulle, pire quand on note que l’investissement se fait au détriment de l’entretien d’école ou de piscine. Le tout, en participant à l’augmentation du prix de l’immobilier et au processus de gentrification qui rendent la vie impossible aux classes populaires. » À lire absolument.
La mouvance de l’ex-Alvarium et de l’actuel “Rassemblement des étudiants de droite” (RED) conjugue fébrilement provocations et exactions. À Angers, en moins d’une semaine, elle a tenté d’agresser, heureusement sans succès, la manifestation du 29 juin soutenant le droit à l’IVG (voir ICI) et s’est attaquée nuitamment (une nouvelle fois !) aux locaux de la librairie “Les Nuits bleues” et de l’atelier de vélos “La Tête dans le guidon” (cf. communiqué des Nuits bleues). Manque de chance pour les fascistes à l’œuvre dans la nuit de samedi à dimanche, ils se sont fait surprendre par la police... L’un d’eux est bien connu : c’est un militant du groupe identitaire versaillais Auctorum, au profil identique à celui de l’Alvarium. En janvier 2021, il avait été jugé pour avoir, en septembre 2020, plaqué au sol des passants tentant de retirer des banderoles accrochées au pseudo-squat créé par l’Alvarium, rue Thiers (voir ICI). Mais il avait été relaxé... Cette fois, il a été placé sous contrôle judiciaire en attendant son passage le 11 octobre au tribunal correctionnel pour dégradation volontaire et port d’arme de catégorie D (un marteau). Un second vandale sera également jugé. Avec les deux fascistes du 29 juin convoqués le 12 octobre, la justice aura du travail mi-octobre. Sera-ce du bon travail ?