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L’ultra-droite identitaire, xénophobe et antisémite rouvre un local à Angers : inacceptable !

Publié le 18 septembre 2019

Dans un communiqué de presse, le NPA49 souligne le scandale et la provocation que constitue la réouverture du bar identitaire L’Alvarium à 200m de la Bourse du travail d’Angers. Il soutient l’appel au rassemblement de protestation initié par le Réseau angevin antifasciste (RAAF) samedi 21 septembre à 15h place du Pilori à Angers.

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Dernières brèves

  • La lente agonie d’ANO à Angers - Infos locales - 13 juin

    La mise en extinction d’Angers-Nantes Opéra continue à Angers. Le Grand théâtre ne produira plus que deux opéras au cours de l’année 2022-2023, pour seulement deux représentations de “L’Élixir d’amour” de Donizetti et une seule de “Luisa Miller” de Verdi. S’il faut y ajouter un Singspiel pour enfants de Landowski et une création (“L’annonce faite à Marie” d’après Claudel, de quoi plaire aux intégristes angevins !), on reste très loin de la demi-douzaine (ou davantage) d’avant l’accession du LR Béchu à l’Hôtel de ville et de sa décision brutale de réduire drastiquement les subventions à ANO. La même austérité frappe beaucoup de maisons d’opéra en France : les collectivités ferment le robinet des finances, parfois au prétexte de “l’élitisme” que véhiculerait ce genre artistique, parfois pour “punir” une municipalité (comme à Lyon, par le LR Wauquiez) et toujours au détriment des musiciens et chanteurs. Ce n’est pas sur celui qui vient de devenir (pour combien de temps ?) ministre délégué aux collectivités territoriales, Béchu justement, aujourd’hui à “Horizons”, qu’il faudra compter pour inverser la tendance. Mais sur les luttes des artistes pour leur métier et pour l’accès de toutes et tous à la culture.

  • Béchu : votez, vous êtes fichés ! - Infos locales - 19 avril

    Daté du 11 avril, un courrier de propagande pour E. Macron paraphé localement par le maire d’Angers, C. Béchu, vient d’être acheminé par la poste dans les boîtes à lettres d’électrices et électeurs angevins. Selon le Courrier de l’Ouest, pas moins de 51.000 sur les 93.000 recensé·e·s sur les listes électorales auraient été visé·e·s, principalement en centre-ville. Le cabinet du maire a précisé que le coût du courrier - rédigé au niveau national pour les maires soutenant Macron - était intégré aux comptes de campagne du candidat. Dont acte, mais le cabinet ne communique pas sur l’utilisation des listes électorales que cet envoi suppose. Comment, sinon, aurait-il obtenu les adresses, noms, prénoms et même seconds prénoms des électrices et électeurs inscrit·e·s sur les enveloppes ? Que cela soit légalement toléré en dérogation à l’interdiction d’utiliser des fichiers du secteur public à des fins de communication politique (voir CNIL) ne le rend pas politiquement acceptable pour autant. Halte à l’utilisation par les maires des listes électorales à des fins partisanes !

  • Mobilisation pour l’Ukraine et... l’Institut municipal - Infos locales - 1er mars

    Lundi 28 février à 17h, a eu lieu une conférence « sur le conflit Russo-Ukrainien » organisée par des animateurs de l’Institut municipal d’Angers, avec notamment des interventions de l’historien A. Jacobzone et de l’économiste D. Cayla. Outre l’actualité dramatique qu’elle soulevait, il est remarquable qu’elle ait eu lieu en plein air, face à l’Hôtel de ville d’Angers. Il s’agissait par là de rappeler l’utilité de l’IMA et de protester contre les manœuvres de la municipalité Béchu visant, en prétextant de contraintes liées à la rénovation de la Bibliothèque Toussaint, à amoindrir, voire à éliminer carrément ce très ancien lieu d’éducation populaire (probablement en vue d’un de ces projets immobiliers de luxe dont la municipalité et ses amis promoteurs sont friands). Environ 150 personnes y ont assisté, preuve de l’attachement de beaucoup d’Angevin.e.s à l’IMA, et qui ne se laisseront pas endormir par le blabla des porte-parole de C. Béchu.

  • C. Béchu : Touche pas à mon BTP ? - Infos locales - 5 février

    Pour C. Béchu, le drame du balcon du Surcouf survenu en octobre 2016 relèverait d’une « fatalité stupéfiante » et le procès des responsables du secteur de l’immobilier impliqués dans la malfaçon du balcon ne devrait pas « sombrer dans une vendetta » (Ouest-France, 03/02/2022). Cette tragédie n’avait pourtant rien d’une « fatalité » et si les responsables (dont l’architecte Rolland et le patron de Bonnel) passent en procès, ce n’est pas à cause d’une « vendetta » des survivants et des familles des victimes mais parce que des faits peuvent légalement leur être reprochés. Les parties civiles se sont donc légitimement émues des propos du maire d’Angers (OF, 04/02/2022). Mais ceux-ci sont-ils si surprenants que cela ? Dans une ville qu’il a, encore plus que ses prédécesseurs, livrée à la spéculation immobilière, les promoteurs sont rois et le maire à leur service (et la liste des “services” est longue : évacuations musclées des squats, constructions de prestige ou de luxe - soi-disant « végétalisées » pour le greenwashing - et recul du logement social, déménagement du vélodrome pour libérer du terrain à bâtir, destruction partielle de l’îlot Savary, etc.) Nous ajouterons un autre grief à celui des familles : dans ses déclarations à OF, C. Béchu dénigre L’Étincelle, faussement présentée comme un “squat” dans l’article, alors que le local associatif (loué en bonne et due forme) avait ouvert ses portes aux secours et au maire lui-même pendant la nuit du drame. C. Béchu n’est décidément “indulgent” que pour ses petits amis.

  • Droit de manifester : abus de pouvoir préfectoral - Infos locales - 23 janvier

    Le droit de manifester est depuis la crise sanitaire régulièrement remis en cause, en particulier dans le centre-ville d’Angers. Ce week-end, à nouveau, le préfet y a interdit les manifestations (notamment, un rassemblement contre les armes nucléaires !) Le préfet suit en cela les ordres du maire Béchu qui veut réserver le centre au seul commerce (aux soldes en l’occurrence !) Ils font ainsi semblant de méconnaître la jurisprudence administrative en la matière : « l’importance économique (…) ne saurait, à elle seule, justifier une interdiction de principe de manifester » et cette interdiction « porte à la liberté de manifester une atteinte qui n’est ni nécessaire, ni adaptée ni proportionnée » (TA de Nancy, ordonnance N°2103426). De même le préfet a récemment pondu un arrêté imposant le port du masque en extérieur partout en Maine-et-Loire, y compris en plein champ. Il s’agissait pour lui de faire croire que l’État agit contre le Covid (que n’a-t-il pondu un arrêté rétablissant les lits supprimés au CHU !) Comme dans d’autres régions, le TA de Nantes a cassé son arrêté, toujours en raison d’un manque de « proportionnalité » (on pourrait aussi y ajouter son ridicule !) Le préfet pouvait-il, là aussi, ignorer la jurisprudence administrative ? En réalité, c’est bien d’abus de pouvoir et d’autoritarisme qu’il s’agit ici. Ne laissons plus C. Béchu et le préfet entraver les libertés publiques !

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