À la suite des organisations de jeunesse, la CGT appelle ses militant.e.s à participer à la mobilisation du mercredi 9 mars contre la “loi-travail”. De plus en plus de structures syndicales se rallient à cette concrétisation dans la rue du refus massif qui s’est déjà manifesté sur les réseaux sociaux. À Angers, la manifestation est appelée à 10h30, place du Ralliement. Soyons y nombreux et que cette initiative contre la casse du droit du travail soit le point de départ d’une mobilisation croissante jusqu’au retrait complet du projet de loi !
Alors que la pétition “Loi travail, non merci” se dirige vers 800.000 signatures, les organisations syndicales étudiantes et lycéennes, associatives et politiques de jeunesse se sont retrouvées sur la revendication commune du retrait complet du projet de loi dit « travail », appellent à une journée nationale d’initiatives et d’actions le mercredi 9 mars à l’occasion du conseil des ministres et à la poursuite de la mobilisation au-delà, notamment à travers les journées de mobilisation intersyndicales. Mais la jeunesse ne doit pas rester seule : c’est à tout le mouvement social et syndical de se mettre en mouvement !
Dans un communiqué, les organisateurs de la manifestation contre le projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes du samedi 27 février 2016 se réjouissent de l’énorme réussite de cette journée, pourtant organisée une nouvelle fois dans un délai très court (ainsi à Angers, trois cars ont-ils pu être affrétés). Ce fut certainement la plus grosse manifestation pour la sauvegarde du bocage de NDDL et pour le soutien à celles et ceux qui font vivre cette ZAD. Retrait définitif du projet d’aéroport porté par Vinci et les élus productivistes LR-PS !
Les militantes et militants du Nouveau Parti Anticapitaliste appellent à manifester samedi 27 février à Notre-Dame-des-Landes aux côtés des associations et des zadistes qui refusent l’aéroport porté par Vinci, le PS, la droite et les productivistes de tout poil. Christine Poupin et Philippe Poutou, tous deux porte-paroles du NPA, participeront à cette manifestation contre ce grand projet inutile et destructeur de l’environnement. Par ailleurs, trois cars de militant(e)s anti-aéroport partent d’Angers à 8h30...
Dans une tribune parue dans Libération, Clémentine Autain (Ensemble), Olivier Besancenot (NPA), Eric Coquerel (Parti de gauche), Gérard Filoche (PS), Willy Pelletier (Fondation Copernic), Pierre Laurent (PCF), Eric Beynel (Solidaires), Fabrice Angei (CGT) et Noël Daucé (FSU) dénoncent l’inversion du code du travail que proposent M. El-Khomry et le gouvernement : défendre les entreprises au lieu des travailleurs. Ils appellent, dans les mois qui viennent, à une grande mobilisation pour défendre les droits des salariés et jeter les bases d’un Code du travail qui les protège vraiment.
Le patronat et la droite osaient à peine en rêver, le gouvernement Hollande-Valls se propose de passer à l’acte : faire table rase de plus d’un siècle de droits des salariéEs conquis souvent de haute lutte. Les 61 principes du rapport Badinter, qui placent le bon fonctionnement de l’entreprise sur le même plan que les libertés fondamentales des salariés, qui oublie délibérément que le Code du travail n’a pas pour but de “sécuriser” les entreprises mais de donner des droits aux travailleurs, prennent tout leur sens. Unitaire, rapide, regroupant partis, syndicats, associations, organisations de chômeurs/euses, la riposte du monde du travail doit être à la hauteur : dans la rue et par la grève.
Les bourses se cassent la figure, la croissance est incertaine, les politiques économiques prônées par le patronat et appliquées par les gouvernements (notamment par le gouvernement français Hollande-Valls) ne donnent pas les résultats annoncés. Mais une chose est certaine : ceux qui nous dirigent ont l’intention de continuer à faire payer à la population la crise du système capitaliste.
Depuis vendredi, l’Assemblée nationale discute de la « loi de protection de la nation » inscrivant dans la Constitution l’état d’urgence et la déchéance de la nationalité française « pour un crime ou un délit constituant une atteinte grave à la vie de la nation ». Cela ne serait d’aucune efficacité contre le terrorisme. En revanche, cela serait un nouveau pas vers l’État autoritaire dont rêvent les classes dirigeantes pour écraser le mouvement social. Face à cette menace grave pour les libertés démocratiques, des collectifs unitaires se constituent un peu partout en France, comme à Angers. Une réunion publique contre l’état d’urgence et la déchéance de nationalité se tiendra jeudi 10 mars à 20h, Salle Pelloutier de la Bourse du travail d’Angers..
Plus de 300 militant.e.s (surtout CGT et aussi FO) ont manifesté à Angers jeudi 4 février en solidarité avec les 8 salariés de Goodyear à Amiens condamnés à 9 mois de prison ferme pour leur action contre la fermeture de leur entreprise, à l’appel de l’intersyndicale CGT-FO-SOLIDAIRES-FSU. Partout en France, des manifestations similaires ont eu lieu (10 000 personnes dans près de 80 villes). Un succès de la mobilisation qu’il faut d’urgence développer pour décourager la criminalisation de l’action syndicale par le gouvernement Hollande-Valls-Macron.
Les 12, 13, 14 février se tiendra à Angers le 1er Congrès des groupes antinucléaires sous l’égide du réseau “Sortir du nucléaire”. À l’heure où il est vital de réaffirmer que ce n’est pas le nucléaire qui peut “sauver le climat et qu’il constitue en revanche un danger inacceptable, le Congrès aura pour ambition de réunir toutes les composantes du mouvement antinucléaire français afin de repenser ensemble le fonctionnement structurel et stratégique du Réseau Sortir du nucléaire.
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- samedi 15 novembre à 14h30 : Conférence d’Agnès Levallois, autrice de « Le livre noir de Gaza », Centre Jean Vilar à Angers.
- samedi 22 novembre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du Ralliement à Angers (lieu à confirmer).
- samedi 29 novembre : journée mondiale de solidarité avec la Palestine et
manifestation à 14h à Paris, place de la République. Départ en autocar organisé par l’AFPS49 : Inscriptions sur helloasso à 35€.
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Les militant·e·s et sympathisant·e·s du NPA49 saluent la mémoire de Stéphane Corbin, figure incontestée de la lutte pour l’égalité des droits des LGBTI en Maine-et-Loire, président de Quazar de 2008 à 2013 et de 2020 à 2023, animateur des marches des fiertés qui chaque année réunissent à Angers des milliers de personnes, dont une grande majorité de jeunes. Les obsèques de Stéphane se tiendront vendredi 31 octobre à 14h, église Saint-Martin-des-Champs à Angers. Salut à toi, Stéphane !
Un nouvel exemple vient d’être donné des liens étroits entre le groupuscule d’extrême droite Red-Angers et « Les Blancs de l’Ouest », charcutiers-entrepreneurs nationalistes chouchoutés par la municipalité d’Angers (ils ont un stand aux Halles Biltoki). Depuis octobre en effet, la personne embauchée pour tenir le stand aux Halles Biltoki et dans les marchés de Bouchemaine et Chalonnes, n’est autre qu’un néo-nazi connu pour avoir été un ambassadeur du Red lors de rassemblements fascistes (récupération honteuse du meurtre de la jeune Lola, « marche [néonazie] de Lukov » en Bulgarie, Légion hongroise, Academia Christiana, Institut Iliade, etc.) Le RAAF vient de publier à son propos un article instructif que l’on peut lire ICI.
Il y a aujourd’hui 82 ans que le résistant internationaliste nantais Robert Cruau était abattu à Brest par la Gestapo. Huit décennies après sa mort, Robert Cruau reste pour beaucoup un inconnu. Il fut pourtant un militant ouvrier internationaliste exceptionnel. Son histoire exemplaire reste à écrire. Lire la suite ici.
Comme partout en France jeudi 2 octobre, dans l’urgence, un rassemblement de solidarité avec les membres de la Flottille pour Gaza (Global Sumud Flotilla), arraisonnée illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne, avait été appelé à Angers par l’AFPS49 et ses partenaires, à 18h30 place du Ralliement. Le nombre de personnes rassemblées a rapidement gonflé de 200 au début jusqu’à 300. Ce fut un rassemblement dynamique et très visible. Malgré tout, alors que le génocide est plus que jamais en cours à Gaza, la solidarité en France reste très inférieure à ce qu’elle est ailleurs au niveau international. Il faut donc plus que jamais mobiliser autour de nous, notamment face à un État français décidément complice des crimes de guerre du gang fasciste de Netanyahou, un État qui ne proteste même pas quand le droit maritime international est foulé aux pieds par des pirates israéliens en uniforme...
Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE (FO n’avait pas signé l’appel départemental et a défilé en fin de cortège). C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
À l’école Dacier d’Angers est expérimentée depuis la rentrée une « rue école » fermée à la circulation des voitures de 8h20 à 8h50, afin que les enfants puissent y arriver tranquillement. Il n’y a pas encore d’installation permanente et ce sont les parents d’élèves qui tiennent la barrière avec un gilet jaune. Cette expérience - prévue pour le moment jusqu’à décembre - semble concluante et bien acceptée. Mais voici qu’au matin du 18 septembre, une voiture de la police nationale déboule en trombe dans la rue, alors même que les enfants sont en train de rentrer. Apercevant les gilets jaunes des parents, la maréchaussée avait vu rouge, imaginant quelque barrage revendicatif en cette journée de mobilisation nationale... Il a fallu détromper ces fins limiers. Comme quoi la retailleauderie paranoïaque ne développe pas la perspicacité !