Jour après jour, semaine après semaine, mois après mois, la Macronie fait preuve de son incapacité à juguler la crise sanitaire, et porte la responsabilité de dizaines de milliers de morts qui auraient pu être évitées. Sans changement de cap radical, qui ne pourra être que le fruit de la construction d’un rapport de forces par nos mobilisations et la convergence de celles-ci (comme cela a été réaffirmé lundi 5 avril à Angers), cette situation peut malheureusement encore perdurer pendant des mois, voire davantage.
Face à l’inaction coupable d’un gouvernement privilégiant les profits des grands groupes, il faut imposer l’ouverture de lits en réanimation, l’embauche et la formation massive de personnels de santé ; l’amplification de la campagne de vaccination, en réquisitionnant l’appareil de production et en exigeant la levée immédiate des brevets sur les vaccins ; la protection du monde du travail et de l’ensemble de la population (dans les entreprises et les services publics, en particulier dans l’éducation), y compris par la fermeture des lieux si nécessaire.
Dans toute l’Europe, le samedi 27 mars était une journée de mobilisation pour le droit au logement. À Angers, entre 15h et 17h, 250 à 300 personnes ont participé au rassemblement place du Ralliement puis à la déambulation en centre-ville pour le Droit au logement à l’appel de Attac, Pas Sans Nous 49, le Cercle 49, la Grande Ourse, la préfiguration du DAL 49, Vrem Pacé, Solidaires, l’European action coalition, la FSU et l’UNEF. Une PETITION en ligne a également été proposée aux passant.e.s.
C’est à nous d’imposer, par notre mobilisation, de véritables mesures de salut public : en priorité, ouvrir des lits en réanimation, embaucher et former massivement des personnels de santé, améliorer les conditions de travail de ces derniers (en répartissant le travail et en augmentant les salaires) et étendre la campagne de vaccination en réquisitionnant l’appareil de production et en exigeant - comme c’est légalement possible avec la licence d’office - la levée immédiate des brevets sur les vaccins.
Le week-end des 20-21 mars a été marqué par des mobilisations en défense de la culture, mais aussi contre les lois liberticides dites de “sécurité globale” (LSG) et “séparatiste”. À Angers, la culture a mobilisé environ 350 personnes le samedi et, en les additionnant, autant de soutiens se sont mobilisés les samedi contre la LSG (place du Ralliement, à l’appel du Collectif 49 pour les libertés démocratiques) et dimanche contre la loi « séparatiste » et le racisme (place Jean XXIII, à l’appel du Front contre l’islamophobie et pour l’égalité des droits pour tou.te.s.
Ce sont entre 600 et 1000 jeunes qui ont manifesté à Angers ce vendredi 19 mars pour rappeler l’urgence de la lutte contre le réchauffement climatique, condamner l’inaction gouvernementale (après la condamnation du tribunal administratif !) et appeler à changer le système avant qu’il ne soit trop tard. C’est bien plus que la manifestation précédente du 13/03/2020, signe que les luttes écosocialistes de la jeunesse n’ont pas été éteintes par la pandémie et les mesures liberticides que le gouvernement a prises à cette occasion. Changeons le système et pas le climat !
Le 18 mars 1871 marqua le début de la Commune de Paris, expérience révolutionnaire, sociale et démocratique unique mais qui sera écrasée dans le sang par l’armée Versaillaise sous les ordres du boucher Adolphe Thiers. Nous proposons ici de voir ou revoir le débat sur la Commune organisé par la Formation Léon Lesoil en collaboration avec la Gauche anticapitaliste, Contretemps - revue de critique communiste, et le journal l’Anticapitaliste.
Un plan d’urgence... Voilà ce que les organisations du mouvement ouvrier - syndicats, associations, forces politique - pourraient défendre, dans les luttes, dans les élections, ou en construisant des assemblées populaires dans les quartiers et sur les lieux de travail, d’étude, de vie... C’est ce que porte le NPA, pour faire face à la crise du capitalisme et construire une autre société, écosocialiste, toutes et tous ensemble !
Près de 500 personnes se sont rassemblées place du Ralliement lundi 8 mars à 15h40 (heure à partir de laquelle les femmes ne sont plus payées), place du Ralliement à Angers, à l’appel du planning familial, des syndicats CGT, Solidaires, FSU et UNEF, d’associations et d’organisations politiques. Après les prises de parole, 200 manifestant.e.s sont parti.e.s en cortège dans les rues du centre-ville. De plus, la grève féministe a été suivie de façon non négligeable dans plusieurs entreprises et services publics (par exemple, 41 grévistes au Cesame de Sainte Gemmes).
Ce lundi 8 mars 2021, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, a lieu dans un contexte de crise globale du système qui touche particulièrement les femmes. La grève féministe internationale, qui se construit depuis plusieurs années, prend d’autant plus d’importance pour combattre ce système dans toutes ses dimensions d’exploitation, de surexploitation des femmes et d’oppression sexiste, raciste et LGBTIphobe. À Angers, cette grève féministe du 8 mars sera supportée par un Rassemblement à 15h40 place du Ralliement (voir le tract unitaire).
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- samedi 15 novembre à 14h30 : Conférence d’Agnès Levallois, autrice de « Le livre noir de Gaza », Centre Jean Vilar à Angers.
- samedi 22 novembre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du Ralliement à Angers (lieu à confirmer).
- samedi 29 novembre : journée mondiale de solidarité avec la Palestine et
manifestation à 14h à Paris, place de la République. Départ en autocar organisé par l’AFPS49 : Inscriptions sur helloasso à 35€.
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- Stop à la criminalisation du mouvement de solidarité avec la Palestine (07/11/2025)
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Les militant·e·s et sympathisant·e·s du NPA49 saluent la mémoire de Stéphane Corbin, figure incontestée de la lutte pour l’égalité des droits des LGBTI en Maine-et-Loire, président de Quazar de 2008 à 2013 et de 2020 à 2023, animateur des marches des fiertés qui chaque année réunissent à Angers des milliers de personnes, dont une grande majorité de jeunes. Les obsèques de Stéphane se tiendront vendredi 31 octobre à 14h, église Saint-Martin-des-Champs à Angers. Salut à toi, Stéphane !
Un nouvel exemple vient d’être donné des liens étroits entre le groupuscule d’extrême droite Red-Angers et « Les Blancs de l’Ouest », charcutiers-entrepreneurs nationalistes chouchoutés par la municipalité d’Angers (ils ont un stand aux Halles Biltoki). Depuis octobre en effet, la personne embauchée pour tenir le stand aux Halles Biltoki et dans les marchés de Bouchemaine et Chalonnes, n’est autre qu’un néo-nazi connu pour avoir été un ambassadeur du Red lors de rassemblements fascistes (récupération honteuse du meurtre de la jeune Lola, « marche [néonazie] de Lukov » en Bulgarie, Légion hongroise, Academia Christiana, Institut Iliade, etc.) Le RAAF vient de publier à son propos un article instructif que l’on peut lire ICI.
Il y a aujourd’hui 82 ans que le résistant internationaliste nantais Robert Cruau était abattu à Brest par la Gestapo. Huit décennies après sa mort, Robert Cruau reste pour beaucoup un inconnu. Il fut pourtant un militant ouvrier internationaliste exceptionnel. Son histoire exemplaire reste à écrire. Lire la suite ici.
Comme partout en France jeudi 2 octobre, dans l’urgence, un rassemblement de solidarité avec les membres de la Flottille pour Gaza (Global Sumud Flotilla), arraisonnée illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne, avait été appelé à Angers par l’AFPS49 et ses partenaires, à 18h30 place du Ralliement. Le nombre de personnes rassemblées a rapidement gonflé de 200 au début jusqu’à 300. Ce fut un rassemblement dynamique et très visible. Malgré tout, alors que le génocide est plus que jamais en cours à Gaza, la solidarité en France reste très inférieure à ce qu’elle est ailleurs au niveau international. Il faut donc plus que jamais mobiliser autour de nous, notamment face à un État français décidément complice des crimes de guerre du gang fasciste de Netanyahou, un État qui ne proteste même pas quand le droit maritime international est foulé aux pieds par des pirates israéliens en uniforme...
Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE (FO n’avait pas signé l’appel départemental et a défilé en fin de cortège). C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
À l’école Dacier d’Angers est expérimentée depuis la rentrée une « rue école » fermée à la circulation des voitures de 8h20 à 8h50, afin que les enfants puissent y arriver tranquillement. Il n’y a pas encore d’installation permanente et ce sont les parents d’élèves qui tiennent la barrière avec un gilet jaune. Cette expérience - prévue pour le moment jusqu’à décembre - semble concluante et bien acceptée. Mais voici qu’au matin du 18 septembre, une voiture de la police nationale déboule en trombe dans la rue, alors même que les enfants sont en train de rentrer. Apercevant les gilets jaunes des parents, la maréchaussée avait vu rouge, imaginant quelque barrage revendicatif en cette journée de mobilisation nationale... Il a fallu détromper ces fins limiers. Comme quoi la retailleauderie paranoïaque ne développe pas la perspicacité !