Le samedi 11 mai prochain, une chaîne humaine de 25 km encerclera la ZAD (Zone À Défendre) de Notre-Dame-des-Landes. Cette démonstration de force unitaire et nationale sera décisive. Les travaux sont officiellement repoussés de six mois mais le gouvernement ne renonce pas à son projet inutile et destructeur. Faisons céder Vinci et le gouvernement maintenant !
- Un départ en car au départ d’Angers est organisé par le Collectif des citoyens angevins contre l’aéroport.
Alors que la Droite et l’extrême-droite assument ouvertement leur unité nauséabonde sur une base homophobe et tentent de développer un climat de violence en profitant du discrédit du gouvernement social-libéral actuel, il est urgent de leur opposer la mobilisation de toutes celles et tous ceux qui luttent pour l’égalité des droits. Le NPA49 participera donc au rassemblement appelé par l’Association Quazar ce mardi 23 avril à 19h15 devant la Mairie d’Angers.
Dans ce Cahier n°5 du CESA (Cercle d’Études Sociales Angevin), intitulé « L’ENNEMI INTERIEUR - Les inscrits au Carnet B en Maine-et-Loire dans les années 30 », Frédéric Dabouis revient sur l’histoire du fichage des militants par la préfecture de police d’Angers entre les deux guerres sur la base des archives qui n’ont pas été détruites. Pour l’État, l’ennemi intérieur, c’était avant tout les militants anticapitalistes révolutionnaires. Et ceux qui ont réprimé ces militants ont, à quelques exceptions près, continué leur carrière sous le régime de Vichy et la Collaboration…
Dans ce cahier du CESA n° 4 est décrite l’activité dans notre département de l’une des deux branches du mouvement trotskyste en France, le POI de Pierre Naville et David Rousset, dans une période marquée par l’ascension du stalinisme, les procès de Moscou et la montée des périls avec la crise de Munich en septembre 1938. En effet, dans la foulée de la victoire électorale du Front populaire, le POI avait réussi à s’implanter à Angers mais aussi et surtout à Saumur, où le groupe de jeunes qui l’animait était issu des Jeunesses socialistes, notamment le postier Marcel Baufrère, qui milita ensuite à Paris comme responsable national du POI et fut déporté à Buchenwald en 1944-1945. L’article montre les difficultés de tous ordres qui firent obstacle au développement de cette tendance politique, principalement de la part de l’appareil d’Etat, mais pas seulement…
Celui qui était d’accord avec le MEDEF pour dynamiter le système de retraites par répartition, qui était en première ligne pour vendre l’austérité capitaliste à la population, qui se prétendait chevalier blanc de la lutte contre la fraude fiscale tout en étant accusé de la pratiquer lui-même, l’ex ministre "socialiste" Jérôme Cahuzac a fini par avouer la fraude et qu’il avait menti... Ainsi chute la figure la plus emblématique du gouvernement Hollande-Ayrault. Ce gouvernement tout dévoué aux capitalistes et qui se prétend "de gauche" fait le jeu de la droite et de l’extrême droite. Plus que jamais, luttons pour une démocratie réelle, maintenant !
À peine 10 mois après son élection, F. Hollande est au plus bas dans les sondages. Et son gouvernement avec. Pour y remédier, le président a entamé un tour de France de reconquête de l’électorat… tout en continuant la même politique d’austérité, de régression sociale et d’irresponsabilité écologique qui provoque sa chute... tout en participant activement à la politique de pillage exercée par la Troïka FMI-BCE-UE contre les pays en difficulté de la zone euro, tels que Chypre ou la Grèce. Cette politique fait le jeu de la droite et de l’extrême-droite. Pour la combattre, il y a urgence à construire une opposition de gauche !
Même si la ministre Fioraso n’a pas réussi à faire approuver par le CNESER sa « Loi relative à l’enseignement supérieur et à la recherche », celle-ci sera bientôt soumise au parlement. Or, cette loi ne remet pas en cause la loi LRU de Sarkozy-Précresse qui permet toujours davantage de soumettre les universités aux pressions du patronat, d’en changer les missions, d’inverser le processus de démocratisation du savoir universitaire. En "territorialisant" les universités, la loi Fioraso se révèle une véritable LRU n°2 aux effets potentiels particulièrement délétères. Analyse.
Deux ans après le début de la catastrophe de Fukushima, une chaîne humaine de 20.000 personnes contre le nucléaire civil et militaire s’est constituée de la Défense à Bercy à partir de 14h et a été suivie en fin d’après-midi d’un rassemblement concert à Bastille. Le réseau Sortir du nucléaire 49 avait organisé la montée en car des angevins. Le NPA animait quant à lui le point de rassemblement devant l’Assemblée Nationale sur le thème "transition énergétique, alternatives" face au lieu de décision qu’est le parlement.
- Lire l’article Sortir du nucléaire en moins de 10 ans, c’est possible ! dans le n°185 (07/03/2013) de l’hebdo Tout est à nous ! du NPA.
Le collectif angevin d’Égal à Égales (dont fait partie le NPA49) a déroulé une “guirlande des inégalités” (accrochant un escarpin ici, un plumeau là, une fiche de paie...) devant le Grand Théâtre, place du Ralliement à Angers à l’occasion de la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Une soixantaine de personnes ont participé à ce rassemblement qui visait à dénoncer la surexploitation (temps partiel, bas salaires, double journée de travail...) et les violences (du sexisme ordinaire de la publicité aux brutalités conjugales et aux viols) dont les femmes sont victimes.
- Télécharger le tract du collectif
Les manifestations contre l’austérité et l’ANI (accord CFDT-MEDEF, dit par antiphrase de "sécurisation de l’emploi") lancées par la CGT, FO, FSU, Solidaires et l’Unef ont réuni plus de 1300 personnes en Maine-et Loire dont un millier à Angers, plus de 200 à Cholet, 120 à Saumur et une petite quarantaine à Segré. Une mobilisation en demi-teinte mais qui peut constituer une étape dans une mobilisation anti-ANI à développer d’urgence (le projet de loi passant au conseil des ministres demain).
- Voir le tract du NPA
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- samedi 4 octobre de 14h30 à 18h : débats sur l’agriculture et les enjeux environnementaux. Salle Pelloutier, Bourse du travail d’Angers.
- samedi 4 octobre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du ralliement à Angers.
- lundi 3 novembre à 20h : « Les Antilles empoisonnées », projection-rencontre autour du documentaire de Nicolas Glimois, aux 400 coups à Angers (Festival AlimenTERRE).
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voir aussi à Angers
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- Le Cercle 49.
Comme partout en France jeudi 2 octobre, dans l’urgence, un rassemblement de solidarité avec les membres de la Flottille pour Gaza (Global Sumud Flotilla), arraisonnée illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne, avait été appelé à Angers par l’AFPS49 et ses partenaires, à 18h30 place du Ralliement. Le nombre de personnes rassemblées a rapidement gonflé de 200 au début jusqu’à 300. Ce fut un rassemblement dynamique et très visible. Malgré tout, alors que le génocide est plus que jamais en cours à Gaza, la solidarité en France reste très inférieure à ce qu’elle est ailleurs au niveau international. Il faut donc plus que jamais mobiliser autour de nous, notamment face à un État français décidément complice des crimes de guerre du gang fasciste de Netanyahou, un État qui ne proteste même pas quand le droit maritime international est foulé aux pieds par des pirates israéliens en uniforme...
Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE (FO n’avait pas signé l’appel départemental et a défilé en fin de cortège). C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
- Contre Macron et son monde, construire l’affrontement dans la durée ! (02/10/2025)
- Soutien à la flottille pour Gaza, rassemblements partout en France ce soir ! (02/10/2025)
- Protégeons la flottille ! (01/10/2025)
- Reconnaitre le peuple Palestinien ! Protéger la flottille ! (24/09/2025)
À l’école Dacier d’Angers est expérimentée depuis la rentrée une « rue école » fermée à la circulation des voitures de 8h20 à 8h50, afin que les enfants puissent y arriver tranquillement. Il n’y a pas encore d’installation permanente et ce sont les parents d’élèves qui tiennent la barrière avec un gilet jaune. Cette expérience - prévue pour le moment jusqu’à décembre - semble concluante et bien acceptée. Mais voici qu’au matin du 18 septembre, une voiture de la police nationale déboule en trombe dans la rue, alors même que les enfants sont en train de rentrer. Apercevant les gilets jaunes des parents, la maréchaussée avait vu rouge, imaginant quelque barrage revendicatif en cette journée de mobilisation nationale... Il a fallu détromper ces fins limiers. Comme quoi la retailleauderie paranoïaque ne développe pas la perspicacité !
Entre 230 et 250 personnes contre le massacre à Gaza cet après-midi du samedi 30 août, place du Ralliement, à Angers, avec les organisations habituelles : L’AFPS organisatrice de l’action depuis bientôt 2 ans, Mouvement de la Paix, PCF, JC, Amnesty international, LFI, UCL et NPA-A. Rendez-vous pris, pour samedi prochain.
Samedi 26 juillet 2025, au moins 220 Angevins ont de nouveau répondu présent pour le rassemblement hebdomadaire de la place du Ralliement. En préambule, l’AFPS49 a signalé qu’Angers avait eu la visite le 24 juillet de tout un aréopage de ministres dont le premier d’entre eux. Nous avions demandé audience, soit auprès de Mr Bayrou, soit auprès du ministre du commerce extérieur et des Français de l’étranger, Mr Laurent Saint-Martin. La préfecture a bien relayé et appuyé notre demande mais les ministres ou leurs conseillers n’ont pas daigné nous recevoir. Un rendez-vous téléphonique avec la conseillère de M. Saint-Martin nous a été promis pour le lendemain. Il n’a pas été honoré. Manque de temps ou manque de courage pour assumer la position de non-action de la France ? Des paroles, oui mais sans effets concrets. Alors où sont les actes forts et contraignants pour stopper enfin la famine organisée comme arme de guerre par Israël contre le peuple palestinien ? Dans le même ordre d’idée, nous avons évoqué l’annonce faite par le président de la République de son intention de reconnaître l’État de Palestine en septembre prochain lors de l’Assemblée générale de l’ONU. Pourquoi pas immédiatement alors que le parlement français a voté en ce sens il y a plus de 10 ans ? Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de voir mourir de faim plus de 2 millions de Gazaouis d’ici là ! Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de reconnaître un État de Palestine qui ne sera plus qu’un cimetière ! Le communiqué de l’AFPS du 25/07 a été lu et commenté. Si aujourd’hui l’opinion mondiale oblige les responsables politiques à enfin bouger, c’est pour partie du fait de notre mobilisation indéfectible depuis 22 mois. Nous en avons conscience et c’est ce qui nous fait tenir, encore et encore. Puis une militante a lu le poème écrit à Gaza il y a quelques jours par Ziad Medoukh intitulé « La faim », texte qui nous a tous bouleversé. Deux autres militantes ont lu le long et poignant témoignage de Nour Elassi, jeune Gazaouie exfiltrée de Gaza par la France au début du mois. Elle est maintenant étudiante à Paris mais se sent coupable d’avoir laissé sa famille et ses amis. Nous en avons retenu : « J’ai l’impression d’avoir laissé mon âme sous les décombres et maintenant j’ai peur que quelqu’un marche dessus » et « Pour l’occupant, les mots sont plus dangereux que les balles ». Pour terminer nous avons tous ensemble écouté et chanté l’hymne palestinien « Mawtini » (Ma patrie).
Une nouvelle Pétition adressée au premier Ministre par l’intersyndicale CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, FSU, SOLIDAIRES peut être signée en ligne, qui exige l’abandon des mesures de régression sociale et écologique annoncées par F. Bayrou. Pour ses rédacteurs, le problème de la dette, c’est d’abord le manque de recettes et il faut « ouvrir la discussion sur la progressivité de la fiscalité, la contribution des hauts revenus ou des patrimoines, et la légitimité de l’optimisation fiscale ! ». Il faut aussi mobiliser à la base pour créer un rapport de forces dans les lieux de travail et dans la rue. À cet égard, signer la pétition intersyndicale peut être un premier pas et donner confiance à toutes celles et tous ceux qui n’en peuvent plus de ce gouvernement aux ordres des capitalistes. Signons-là !