A la demande du gouvernement et pour répondre aux exigences du patronat, le Parlement est censé entériner les principales dispositions de l’Accord national interprofessionnel sous le label probablement ironique de « projet de loi relatif à la sécurisation de l’emploi ». Il s’agit en fait de donner plus de moyens aux patrons pour plus de flexibilité, plus de facilité de licencier pour accroître productivité, rentabilité et profits. Dès le mardi 5 mars, des manifestations auront lieu contre l’ANI dans tout le pays (à 10h30 à ANGERS place Leclerc, CHOLET place Travot, SAUMUR place de la Mairie et à 11h à SEGRÉ place de la République, à l’appel de CGT, FO, FSU, Solidaires et Unef). Une riposte à construire et amplifier !
La chaîne se déroulera à Paris, de la Défense à Bercy, de 14h à 15h30 et sera suivie à partir de 17h d’un rassemblement-concert à Bastille. Le NPA animera le point de rassemblement devant l’Assemblée Nationale sur le thème "transition énergétique, alternatives" face au lieu de décision qu’est le parlement. Rejoignez-nous à partir de 13h. Un départ d’Angers est organisé par SDN49 à 7h (Retour vers 22h). Tarifs A/R : 25€ ou 15€. Inscription : chaine2013angers@gmail.com ou 06 17 74 36 13
Depuis lundi 18 février, le Syndicat Mixte Aéroportuaire (SMA) lance une grosse propagande de communication d’un montant de 300 k€ en faveur de NDDL. Des annonces sont faites en particulier sur les panneaux publicitaires lumineux à Angers ! La Commission Actions du Collectif de Citoyens Angevins contre le Projet d’Aéroport de Notre Dame Des Landes appelle les Angevin-e-s à participer à son action du samedi 23 février 2013 à 15h45, Place du Ralliement (en haut de la rue Lenepveu). L’objectif est d’informer les citoyens sur les dépenses publiques pour faite cette campagne et de leur demander “Et vous ? Que feriez vous pour la collectivité avec 300 000€ ?” Les réponses seront envoyées au Président du SMA qui n’est autre que J. AUXIETTE, président P“S” du Conseil régional...
Alors qu’à Angers, après quelques velléités de résistance, la présidence de l’université a capitulé devant le ministère et accepté de nouvelles suppressions de postes (gels) et de nouvelles restrictions budgétaires, la ministre Fioraso (surnommée Miss Dollar dans son université de Grenoble) s’apprête à faire passer une nouvelle loi sur l’enseignement supérieur et la recherche. Loin de remettre en cause la loi LRU de Sarkozy-Pécresse, elle s’inscrit dans sa continuité et l’aggrave même sur de nombreux points. Analyse...
Le NPA a tenu son deuxième congrès le weekend dernier à St Denis, en Seine Saint Denis. Après une succession de séquences électorales difficiles, un découragement d’une partie des militants (qui, certes, se retrouve aussi dans toutes les organisations politiques et syndicales en ces temps de “crise”), et une scission douloureuse avec nos camarades de la Gauche Anticapitaliste, le congrès se voulait refondateur de notre organisation. Les débats ont pu se dérouler fraternellement, par delà les divergences, et une majorité s’est dégagée pour construire une opposition de gauche au gouvernement en dégageant la perspective d’une alternative politique en rupture avec le capitalisme, d’un gouvernement anti-austérité. À l’heure où, avec le MEDEF, le gouvernement Hollande-Ayrault lance une offensive ouverte contre les salaires, le droit du travail, le secteur public (par exemple à l’université) et même les militants syndicaux, c’est en effet plus que nécessaire...
Ce jeudi 31 janvier aura vu la première mobilisation syndicale unitaire CGT-FSU-Solidaires contre l’austérité dans les services publics sous le gouvernement Hollande-Ayrault. Si la mobilisation ne fut pas négligeable (plus de 100.000 manifestants au niveau national) elle reste encore largement insuffisante eût égard aux enjeux de l’heure. La prise de conscience qu’il faut rompre d’urgence avec les politiques capitalistes progresse néanmoins dans les secteurs publics, alors qu’une certaine coordination des luttes se met en place dans le privé. En ce sens, une mobilisation comme celle d’Angers avec plus de 300 personnes devant la préfecture est un premier point d’appui.
Chaque semaine, pour ne pas dire chaque jour, une annonce de fermeture d’entreprise, de licenciement, perce difficilement le véritable mur du silence médiatique, élevé au nom de la guerre colonialiste ou de la lutte contre les prétendus terroristes, ou des faits divers. Ce qui manque, c’est la construction d’un rapport de forces global, au moins au niveau du pays, pour imposer des reculs. L’interdiction des licenciements, la reprise de l’activité sous des formes variées, la nationalisation sous contrôle des salariéEs et de la population, autant d’outils qui peuvent donner des perspectives aux mobilisations. Analyse...
Ce sont environ 600 personnes qui ont manifesté samedi après-midi, 19 janvier, dans les rues d’Angers (100 à Saumur) pour défendre l’égalité des droits et en particulier ceux au mariage pour tous et à la PMA. Une première riposte des plus encourageante (en attendant la manifestation nationale du dimanche 27 janvier) à l’offensive réactionnaire des bigots et des fascistes contre le (trop timide) projet de loi sur le mariage pour tous discuté à l’Assemblée nationale. Non, les religions et les homophobes n’auront pas le dernier mot !
Environ 1300 personnes ont manifesté sur les boulevards et devant la préfecture d’Angers pour protester contre l’austérité budgétaire et l’étranglement de l’université d’Angers. Parmi elles, près d’un millier de personnels (enseignants-chercheurs, enseignant-e-s, BIATOSS) avaient répondu à l’appel de l’intersyndicale. C’est un indéniable succès et l’expression du refus massif d’une université condamnée à supprimer des emplois et à réduire son offre de formation et de recherche.
Début d’année en fanfare pour les opposantEs à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes : 20 000 personnes sont passées au festival organisé sur la Zad, dans une ambiance à la Woodstock version bretonne, pour assister aux concerts rap, reggae et punk organisés en soutien au mouvement. C’est dire à quel point Notre-Dame-des-Landes est devenue une lutte et un lieu populaires...
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- samedi 4 octobre de 14h30 à 18h : débats sur l’agriculture et les enjeux environnementaux. Salle Pelloutier, Bourse du travail d’Angers.
- samedi 4 octobre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du ralliement à Angers.
- lundi 3 novembre à 20h : « Les Antilles empoisonnées », projection-rencontre autour du documentaire de Nicolas Glimois, aux 400 coups à Angers (Festival AlimenTERRE).
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Comme partout en France jeudi 2 octobre, dans l’urgence, un rassemblement de solidarité avec les membres de la Flottille pour Gaza (Global Sumud Flotilla), arraisonnée illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne, avait été appelé à Angers par l’AFPS49 et ses partenaires, à 18h30 place du Ralliement. Le nombre de personnes rassemblées a rapidement gonflé de 200 au début jusqu’à 300. Ce fut un rassemblement dynamique et très visible. Malgré tout, alors que le génocide est plus que jamais en cours à Gaza, la solidarité en France reste très inférieure à ce qu’elle est ailleurs au niveau international. Il faut donc plus que jamais mobiliser autour de nous, notamment face à un État français décidément complice des crimes de guerre du gang fasciste de Netanyahou, un État qui ne proteste même pas quand le droit maritime international est foulé aux pieds par des pirates israéliens en uniforme...
Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE (FO n’avait pas signé l’appel départemental et a défilé en fin de cortège). C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
- Contre Macron et son monde, construire l’affrontement dans la durée ! (02/10/2025)
- Soutien à la flottille pour Gaza, rassemblements partout en France ce soir ! (02/10/2025)
- Protégeons la flottille ! (01/10/2025)
- Reconnaitre le peuple Palestinien ! Protéger la flottille ! (24/09/2025)
À l’école Dacier d’Angers est expérimentée depuis la rentrée une « rue école » fermée à la circulation des voitures de 8h20 à 8h50, afin que les enfants puissent y arriver tranquillement. Il n’y a pas encore d’installation permanente et ce sont les parents d’élèves qui tiennent la barrière avec un gilet jaune. Cette expérience - prévue pour le moment jusqu’à décembre - semble concluante et bien acceptée. Mais voici qu’au matin du 18 septembre, une voiture de la police nationale déboule en trombe dans la rue, alors même que les enfants sont en train de rentrer. Apercevant les gilets jaunes des parents, la maréchaussée avait vu rouge, imaginant quelque barrage revendicatif en cette journée de mobilisation nationale... Il a fallu détromper ces fins limiers. Comme quoi la retailleauderie paranoïaque ne développe pas la perspicacité !
Entre 230 et 250 personnes contre le massacre à Gaza cet après-midi du samedi 30 août, place du Ralliement, à Angers, avec les organisations habituelles : L’AFPS organisatrice de l’action depuis bientôt 2 ans, Mouvement de la Paix, PCF, JC, Amnesty international, LFI, UCL et NPA-A. Rendez-vous pris, pour samedi prochain.
Samedi 26 juillet 2025, au moins 220 Angevins ont de nouveau répondu présent pour le rassemblement hebdomadaire de la place du Ralliement. En préambule, l’AFPS49 a signalé qu’Angers avait eu la visite le 24 juillet de tout un aréopage de ministres dont le premier d’entre eux. Nous avions demandé audience, soit auprès de Mr Bayrou, soit auprès du ministre du commerce extérieur et des Français de l’étranger, Mr Laurent Saint-Martin. La préfecture a bien relayé et appuyé notre demande mais les ministres ou leurs conseillers n’ont pas daigné nous recevoir. Un rendez-vous téléphonique avec la conseillère de M. Saint-Martin nous a été promis pour le lendemain. Il n’a pas été honoré. Manque de temps ou manque de courage pour assumer la position de non-action de la France ? Des paroles, oui mais sans effets concrets. Alors où sont les actes forts et contraignants pour stopper enfin la famine organisée comme arme de guerre par Israël contre le peuple palestinien ? Dans le même ordre d’idée, nous avons évoqué l’annonce faite par le président de la République de son intention de reconnaître l’État de Palestine en septembre prochain lors de l’Assemblée générale de l’ONU. Pourquoi pas immédiatement alors que le parlement français a voté en ce sens il y a plus de 10 ans ? Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de voir mourir de faim plus de 2 millions de Gazaouis d’ici là ! Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de reconnaître un État de Palestine qui ne sera plus qu’un cimetière ! Le communiqué de l’AFPS du 25/07 a été lu et commenté. Si aujourd’hui l’opinion mondiale oblige les responsables politiques à enfin bouger, c’est pour partie du fait de notre mobilisation indéfectible depuis 22 mois. Nous en avons conscience et c’est ce qui nous fait tenir, encore et encore. Puis une militante a lu le poème écrit à Gaza il y a quelques jours par Ziad Medoukh intitulé « La faim », texte qui nous a tous bouleversé. Deux autres militantes ont lu le long et poignant témoignage de Nour Elassi, jeune Gazaouie exfiltrée de Gaza par la France au début du mois. Elle est maintenant étudiante à Paris mais se sent coupable d’avoir laissé sa famille et ses amis. Nous en avons retenu : « J’ai l’impression d’avoir laissé mon âme sous les décombres et maintenant j’ai peur que quelqu’un marche dessus » et « Pour l’occupant, les mots sont plus dangereux que les balles ». Pour terminer nous avons tous ensemble écouté et chanté l’hymne palestinien « Mawtini » (Ma patrie).
Une nouvelle Pétition adressée au premier Ministre par l’intersyndicale CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, FSU, SOLIDAIRES peut être signée en ligne, qui exige l’abandon des mesures de régression sociale et écologique annoncées par F. Bayrou. Pour ses rédacteurs, le problème de la dette, c’est d’abord le manque de recettes et il faut « ouvrir la discussion sur la progressivité de la fiscalité, la contribution des hauts revenus ou des patrimoines, et la légitimité de l’optimisation fiscale ! ». Il faut aussi mobiliser à la base pour créer un rapport de forces dans les lieux de travail et dans la rue. À cet égard, signer la pétition intersyndicale peut être un premier pas et donner confiance à toutes celles et tous ceux qui n’en peuvent plus de ce gouvernement aux ordres des capitalistes. Signons-là !