Quelques tracts du NPA 49 en 2010
La municipalité centre/droite/extrême-droite de Saumur a décidé de mettre en place une police municipale... Outre qu’on peut s’interroger sur son efficacité réelle par rapport aux objectifs affichés et sur son coût prohibitif, cette décision traduit bien la seule réponse que la droite apporte à la misère sociale : toujours plus de répression pour les plus démunis, toujours plus de démagogie fondée sur la peur. C’est d’une autre politique municipale dont Saumur a besoin, développant les services sociaux et les services publics et fondée sur la solidarité.
La région (le 14/12/09) et la communauté d’agglomérationAngers-Loire-Métropole (le 17/12/09) ont voté de larges subventions au profit de l’ESEO, école d’électronique issue de la "Catho" d’Angers (auxquelles il faut rajouter celles de l’État et du Conseil général pour un total de 28M€). Alors que l’argent public devrait aller aux services publics, l’État et les élites locales PS et UMP (avec la complicité des élus PCF et Verts) continuent à le détourner vers des intérêts privés. Aux dépens de l’université et du droit des jeunes à des études supérieures gratuites de leur choix.
Alors que le gouvernement veut toujours faire passer en force et contre l’avis de tous sa contre-réforme de "masterisation" de la formation des enseignants (qui aboutirait à une dégradation de celle-ci !), la mobilisation des futurs professeurs d’école et des enseignants d’IUFM a connu un regain mardi 15 décembre, à l’occasion d’une journée nationale appelée par l’intersyndicale. A Angers, une AG de deux cent personnes s’est tenue à l’IUFM et un rassemblement vespéral devant la préfecture a mobilisé près de 80 manifestants.
Face à la grippe H1N1, d’autres choix étaient possibles que ceux opérés par le gouvernement Sarkozy-Bachelot. Il aurait fallu s’appuyer sur une politique d’information honnête et claire de la population, une vraie politique de prévention, une vaccination ciblée sur des personnes vulnérables, la fermeture temporaire si nécessaire d’entreprises ou d’établissements, avec maintien intégral du salaire. En matière de santé comme ailleurs, une autre politique est possible !
À l’appel de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine (AFPS, MDLP, ACLA, ATTAC, LDH, CCFD...), pour dire non au blocus de Gaza et à l’enfermement des territoires palestiniens, environ cent personnes se sont rassemblées samedi 28 novembre de 15h à 16h à Angers. Près d’un an après l’agression israélienne, la solidarité continue à s’affirmer avec force !
Sous une pluie battante à Angers samedi 28 novembre, une trentaine de militants sont venus symboliquement poster au Ralliement des centaines de cartes postales adressées à N. Sarkozy. Sur chacune, quelqu’un exige l’abandon du projet de privatisation de La Poste. Au niveau national, ce sont 20.000 cartes environ qui arrivent chaque jour à l’Élysée. Mais il faut amplifier le mouvement si l’on veut faire plier la Droite. En Maine-et-Loire comme ailleurs, soyons toutes et tous aux côtés des postier-e-s et du service public postal !
Le mardi 24 novembre était une Journée de grève et d’action dans l’éducation nationale à l’appel de CGT Educ’Action, CGT-SNPEFP, FSU, Sud Éducation, FCPE. Une centaine de personnes ont participé à une AG des personnels et 550 manifestants ont parcouru les rues du centre d’Angers avant de rejoindre devant la préfecture les postiers qui manifestaient contre la privatisation de La Poste.
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- samedi 4 octobre de 14h30 à 18h : débats sur l’agriculture et les enjeux environnementaux. Salle Pelloutier, Bourse du travail d’Angers.
- samedi 4 octobre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du ralliement à Angers.
- lundi 3 novembre à 20h : « Les Antilles empoisonnées », projection-rencontre autour du documentaire de Nicolas Glimois, aux 400 coups à Angers (Festival AlimenTERRE).
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Comme partout en France jeudi 2 octobre, dans l’urgence, un rassemblement de solidarité avec les membres de la Flottille pour Gaza (Global Sumud Flotilla), arraisonnée illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne, avait été appelé à Angers par l’AFPS49 et ses partenaires, à 18h30 place du Ralliement. Le nombre de personnes rassemblées a rapidement gonflé de 200 au début jusqu’à 300. Ce fut un rassemblement dynamique et très visible. Malgré tout, alors que le génocide est plus que jamais en cours à Gaza, la solidarité en France reste très inférieure à ce qu’elle est ailleurs au niveau international. Il faut donc plus que jamais mobiliser autour de nous, notamment face à un État français décidément complice des crimes de guerre du gang fasciste de Netanyahou, un État qui ne proteste même pas quand le droit maritime international est foulé aux pieds par des pirates israéliens en uniforme...
Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE (FO n’avait pas signé l’appel départemental et a défilé en fin de cortège). C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
- Contre Macron et son monde, construire l’affrontement dans la durée ! (02/10/2025)
- Soutien à la flottille pour Gaza, rassemblements partout en France ce soir ! (02/10/2025)
- Protégeons la flottille ! (01/10/2025)
- Reconnaitre le peuple Palestinien ! Protéger la flottille ! (24/09/2025)
À l’école Dacier d’Angers est expérimentée depuis la rentrée une « rue école » fermée à la circulation des voitures de 8h20 à 8h50, afin que les enfants puissent y arriver tranquillement. Il n’y a pas encore d’installation permanente et ce sont les parents d’élèves qui tiennent la barrière avec un gilet jaune. Cette expérience - prévue pour le moment jusqu’à décembre - semble concluante et bien acceptée. Mais voici qu’au matin du 18 septembre, une voiture de la police nationale déboule en trombe dans la rue, alors même que les enfants sont en train de rentrer. Apercevant les gilets jaunes des parents, la maréchaussée avait vu rouge, imaginant quelque barrage revendicatif en cette journée de mobilisation nationale... Il a fallu détromper ces fins limiers. Comme quoi la retailleauderie paranoïaque ne développe pas la perspicacité !
Entre 230 et 250 personnes contre le massacre à Gaza cet après-midi du samedi 30 août, place du Ralliement, à Angers, avec les organisations habituelles : L’AFPS organisatrice de l’action depuis bientôt 2 ans, Mouvement de la Paix, PCF, JC, Amnesty international, LFI, UCL et NPA-A. Rendez-vous pris, pour samedi prochain.
Samedi 26 juillet 2025, au moins 220 Angevins ont de nouveau répondu présent pour le rassemblement hebdomadaire de la place du Ralliement. En préambule, l’AFPS49 a signalé qu’Angers avait eu la visite le 24 juillet de tout un aréopage de ministres dont le premier d’entre eux. Nous avions demandé audience, soit auprès de Mr Bayrou, soit auprès du ministre du commerce extérieur et des Français de l’étranger, Mr Laurent Saint-Martin. La préfecture a bien relayé et appuyé notre demande mais les ministres ou leurs conseillers n’ont pas daigné nous recevoir. Un rendez-vous téléphonique avec la conseillère de M. Saint-Martin nous a été promis pour le lendemain. Il n’a pas été honoré. Manque de temps ou manque de courage pour assumer la position de non-action de la France ? Des paroles, oui mais sans effets concrets. Alors où sont les actes forts et contraignants pour stopper enfin la famine organisée comme arme de guerre par Israël contre le peuple palestinien ? Dans le même ordre d’idée, nous avons évoqué l’annonce faite par le président de la République de son intention de reconnaître l’État de Palestine en septembre prochain lors de l’Assemblée générale de l’ONU. Pourquoi pas immédiatement alors que le parlement français a voté en ce sens il y a plus de 10 ans ? Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de voir mourir de faim plus de 2 millions de Gazaouis d’ici là ! Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de reconnaître un État de Palestine qui ne sera plus qu’un cimetière ! Le communiqué de l’AFPS du 25/07 a été lu et commenté. Si aujourd’hui l’opinion mondiale oblige les responsables politiques à enfin bouger, c’est pour partie du fait de notre mobilisation indéfectible depuis 22 mois. Nous en avons conscience et c’est ce qui nous fait tenir, encore et encore. Puis une militante a lu le poème écrit à Gaza il y a quelques jours par Ziad Medoukh intitulé « La faim », texte qui nous a tous bouleversé. Deux autres militantes ont lu le long et poignant témoignage de Nour Elassi, jeune Gazaouie exfiltrée de Gaza par la France au début du mois. Elle est maintenant étudiante à Paris mais se sent coupable d’avoir laissé sa famille et ses amis. Nous en avons retenu : « J’ai l’impression d’avoir laissé mon âme sous les décombres et maintenant j’ai peur que quelqu’un marche dessus » et « Pour l’occupant, les mots sont plus dangereux que les balles ». Pour terminer nous avons tous ensemble écouté et chanté l’hymne palestinien « Mawtini » (Ma patrie).
Une nouvelle Pétition adressée au premier Ministre par l’intersyndicale CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, FSU, SOLIDAIRES peut être signée en ligne, qui exige l’abandon des mesures de régression sociale et écologique annoncées par F. Bayrou. Pour ses rédacteurs, le problème de la dette, c’est d’abord le manque de recettes et il faut « ouvrir la discussion sur la progressivité de la fiscalité, la contribution des hauts revenus ou des patrimoines, et la légitimité de l’optimisation fiscale ! ». Il faut aussi mobiliser à la base pour créer un rapport de forces dans les lieux de travail et dans la rue. À cet égard, signer la pétition intersyndicale peut être un premier pas et donner confiance à toutes celles et tous ceux qui n’en peuvent plus de ce gouvernement aux ordres des capitalistes. Signons-là !