En Maine-et-Loire, à l’image d’initiatives similaires partout en France, l’intersyndicale CFTC CGT FO FSU SOLIDAIRES UNEF UNL appelle à se rassembler de nouveau à Angers ce samedi 5 décembre à 15h30 au Ralliement (dans la continuité du rassemblement contre le chômage prévu à 14h30 devant la Bourse du travail) pour exiger le retrait de la loi dite de "sécurité globale". Les associations de défense des libertés et des droits humains appellent également, ainsi que les organisations politiques de gauche (dont évidemment le NPA49). Ne laissons pas Macron, Darmanin et Lallement piétiner les libertés et légitimer un État policier !
- Lire l’appel intersyndical
Samedi 5 décembre est une journée nationale de lutte contre la précarité et le chômage à l’appel des syndicats et des associations de chômeurs. À Angers, un rassemblement est prévu devant la Bourse du travail d’Angers à 14h30, initié notamment par l’UD CGT de Maine-et-Loire. Au niveau politique national, dans un texte unitaire, Ensemble, le NPA, FI, PEPS, Générations et GDS soutiennent cette initiative, dénoncent le fait que moins de 1% des 100 milliards du plan de relance sont destinés aux plus précaires, et exigent, d’une part, l’abandon de la réforme Macron de l’allocation-chômage, d’autre part, la création d’un véritable bouclier social.
Du dégoût et de la révolte, voilà ce que nous avons toutes et tous ressentis devant les violences policières de ces dernières semaines. Les dernières images des exactions contre les migrant.e.s place de la République à Paris ou du tabassage du producteur de musique noir Michel Zecler, ont mis le feu au poudre, entraînant en particulier une large mobilisation samedi dernier dans tout le pays, et même à Angers avec 4000 manifestant.e.s ! Il faut maintenant étendre la lutte et construire les convergences.
Ce sont environ 4000 personnes qui se sont rassemblées contre les lois liberticides au jardin du Mail à Angers ce samedi 28 novembre. Alors que la place du Ralliement avait été interdite par le préfet et que le rassemblement devait être statique, une grande partie des jeunes et moins jeunes mobilisé.e.s (bien au-delà des organisations syndicales et politiques) est partie en manifestation via cette même place et via... la rocade comme de rigueur pour les grandes manifestations ! Un grand succès de mobilisation qui ne doit pas rester sans suites !
Samedi 28 novembre à 14h30, au jardin du Mail à Angers, un rassemblement contre la loi liberticide dite “de sécurité globale” (LSG) est organisé par l’intersyndicale CFTC-CGT-FO-FSU-Solidaires-UNEF-UNL. C’est le premier rassemblement contre la LSG en Maine-et-Loire : mieux vaut tard que jamais ! Car il y a urgence à mobiliser contre cette n-ième loi scélérate qu’un gouvernement autoritaire entend faire passer à la faveur de la crise sanitaire. Dernière illustration de cet autoritarisme : l’interdiction par la préfecture du rassemblement initialement prévu sur la place du Ralliement. Finalement, il aura lieu au jardin du Mail...
Contre l’épidémie de Covid, le gouvernement continue sa politique autoritaire et inefficace. Le seul allègement du confinement annoncé par le monarque-président ce mardi 24 novembre concerne les commerces (plutôt les gros !) et pas la population. Une autre voie, démocratique celle-là, serait de développer une alliance entre les professionnels de santé et celles et ceux qui, sur leurs lieux de travail, d’études, de vie, sont les plus à même de définir et mettre en œuvre les meilleurs moyens de se protéger et d’éviter la propagation du virus.
Les « héros » d’hier sont redevenus des oubliés et ne le supportent plus. Ainsi, les 40.000 personnels du secteur social et médico-social se voient toujours refuser l’augmentation de salaire de 183 euros attribuées à leurs collègues des services hospitaliers. L’intersyndicale santé 49 CFDT, CGT, FO, SUD appelle à la grève et à un rassemblement devant la préfecture jeudi 26 novembre à 14h pour exiger le versement des 183 euros à tous les exclus du Ségur, dans le public comme dans le privé
La loi dite de « sécurité globale », actuellement discutée à l’Assemblée nationale dans le cadre d’une « procédure accélérée », constitue un pas supplémentaire dans le cours autoritaire de la Macronie. Incapable de gérer la crise sanitaire et ses dramatiques conséquences sociales, le gouvernement entend opérer un tour de vis sécuritaire supplémentaire en s’en prenant une fois de plus violemment à nos droits et aux libertés, dont la liberté de la presse.
Pour les femmes, cette année 2020 a été particulièrement éprouvante. Avec les confinements, les violences physiques et psychologiques dans le cadre familial ont explosé, violences auxquelles se sont ajoutées des conditions de travail dramatiques pour une grande partie des professions « en première ligne » ultra féminisées (infirmières, aides-soignantes, aides à domicile, caissières…). Enfin, les conséquences sociales et économiques de cette crise sanitaire, avec un million de personnes pauvres supplémentaires, vont être particulièrement dramatiques pour les femmes.
- Lire l’Appel unitaire à la mobilisation contre les violences sexistes et sexuelles
Les déclarations de J. Castex le 12 novembre confortent l’image d’un pouvoir désemparé face à la remontée d’une l’épidémie qui reste hors de contrôle. L’échec de la prétendue « stratégie » de E. Macron est patent et le discrédit de l’exécutif s’aggrave. Face à ce pouvoir incapable de changer de politique, il faut fédérer et mobiliser autour de mesures d’urgence. Nous publions ici une analyse de la Commission Santé du NPA.
- lire le tract santé du NPA
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- samedi 15 novembre à 14h30 : Conférence d’Agnès Levallois, autrice de « Le livre noir de Gaza », Centre Jean Vilar à Angers.
- samedi 22 novembre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du Ralliement à Angers (lieu à confirmer).
- samedi 29 novembre : journée mondiale de solidarité avec la Palestine et
manifestation à 14h à Paris, place de la République. Départ en autocar organisé par l’AFPS49 : Inscriptions sur helloasso à 35€.
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voir aussi à Angers
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Les militant·e·s et sympathisant·e·s du NPA49 saluent la mémoire de Stéphane Corbin, figure incontestée de la lutte pour l’égalité des droits des LGBTI en Maine-et-Loire, président de Quazar de 2008 à 2013 et de 2020 à 2023, animateur des marches des fiertés qui chaque année réunissent à Angers des milliers de personnes, dont une grande majorité de jeunes. Les obsèques de Stéphane se tiendront vendredi 31 octobre à 14h, église Saint-Martin-des-Champs à Angers. Salut à toi, Stéphane !
Un nouvel exemple vient d’être donné des liens étroits entre le groupuscule d’extrême droite Red-Angers et « Les Blancs de l’Ouest », charcutiers-entrepreneurs nationalistes chouchoutés par la municipalité d’Angers (ils ont un stand aux Halles Biltoki). Depuis octobre en effet, la personne embauchée pour tenir le stand aux Halles Biltoki et dans les marchés de Bouchemaine et Chalonnes, n’est autre qu’un néo-nazi connu pour avoir été un ambassadeur du Red lors de rassemblements fascistes (récupération honteuse du meurtre de la jeune Lola, « marche [néonazie] de Lukov » en Bulgarie, Légion hongroise, Academia Christiana, Institut Iliade, etc.) Le RAAF vient de publier à son propos un article instructif que l’on peut lire ICI.
Il y a aujourd’hui 82 ans que le résistant internationaliste nantais Robert Cruau était abattu à Brest par la Gestapo. Huit décennies après sa mort, Robert Cruau reste pour beaucoup un inconnu. Il fut pourtant un militant ouvrier internationaliste exceptionnel. Son histoire exemplaire reste à écrire. Lire la suite ici.
Comme partout en France jeudi 2 octobre, dans l’urgence, un rassemblement de solidarité avec les membres de la Flottille pour Gaza (Global Sumud Flotilla), arraisonnée illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne, avait été appelé à Angers par l’AFPS49 et ses partenaires, à 18h30 place du Ralliement. Le nombre de personnes rassemblées a rapidement gonflé de 200 au début jusqu’à 300. Ce fut un rassemblement dynamique et très visible. Malgré tout, alors que le génocide est plus que jamais en cours à Gaza, la solidarité en France reste très inférieure à ce qu’elle est ailleurs au niveau international. Il faut donc plus que jamais mobiliser autour de nous, notamment face à un État français décidément complice des crimes de guerre du gang fasciste de Netanyahou, un État qui ne proteste même pas quand le droit maritime international est foulé aux pieds par des pirates israéliens en uniforme...
Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE (FO n’avait pas signé l’appel départemental et a défilé en fin de cortège). C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
À l’école Dacier d’Angers est expérimentée depuis la rentrée une « rue école » fermée à la circulation des voitures de 8h20 à 8h50, afin que les enfants puissent y arriver tranquillement. Il n’y a pas encore d’installation permanente et ce sont les parents d’élèves qui tiennent la barrière avec un gilet jaune. Cette expérience - prévue pour le moment jusqu’à décembre - semble concluante et bien acceptée. Mais voici qu’au matin du 18 septembre, une voiture de la police nationale déboule en trombe dans la rue, alors même que les enfants sont en train de rentrer. Apercevant les gilets jaunes des parents, la maréchaussée avait vu rouge, imaginant quelque barrage revendicatif en cette journée de mobilisation nationale... Il a fallu détromper ces fins limiers. Comme quoi la retailleauderie paranoïaque ne développe pas la perspicacité !