À l’appel du collectif d’Égal à Égales (auquel participe le NPA49) une réunion publique se tiendra à la bourse du travail d’Angers vendredi 14 novembre à 20h30. Intitulée « 40 ans après la loi Veil, où en est on ? L’IVG en Maine-et-Loire, en France et dans le monde » elle sera animée par Vanessa Belloeil du service du Centre de d’orthogénie "Flora Tristan" et des membres du Planning Familial 49. Télécharger le tract d’appel.
Nous reproduisons le Dossier Climat réalisé par la Commission nationale écologie du NPA et paru jeudi 30 novembre dans l’hebdomadaire L’Anticapitaliste. Une analyse de la catastrophique évolution actuelle du climat et de notre environnement sous l’impact du productivisme capitaliste, un résumé des positions écosocialistes et un appel à l’urgente mobilisation, notamment lors de la conférence sur le climat au Bourget fin 2015.
La manifestation du samedi 15 novembre prochain à l’initiative du collectif pour une Alternative à l’Austérité regroupant associations, organisations syndicales et politiques doit être le rendez-vous de toutes celles et ceux qui s’opposent à la politique menée depuis deux ans et demi par F. Hollande. Il s’agit de la combattre frontalement, de mettre en avant des exigences sociales, écologiques, démocratiques radicales, de rupture avec le patronat et la logique du profit. Dès aujourd’hui, signons l’appel du collectif et soyons le 15 dans la rue !
Le gouvernement de Hollande, Valls et Macron ne cesse faire de la surenchère libérale-antisociale et de s’attaquer aux acquis sociaux. Mais il n’est fort que de la faiblesse et de la dispersion des résistances à sa politique. Il ne se maintient que parce que le système de représentation politique permet aux gouvernants d’imposer une politique rejetée par une majorité de la population. C’est pour cela que nous devons regagner la rue, y être le plus nombreux possible et dans l’unité la plus large, en particulier le samedi 15 novembre à l’appel du collectif « Alternative à l’austérité » qui regroupe des syndicats, des associations et des partis politiques opposés à la politique pro-Medef du PS.
Malgré le cessez-le feu, la situation du peuple palestinien est loin d’être réglée : le blocus contre Gaza et la colonisation de la Cisjordanie continuent. En France, le gouvernement maintient lui aussi le cap : accompagner à la politique de l’État d’Israël et criminaliser le mouvement de solidarité. Les raisons de se mobiliser sont toujours là. C’est ce qui a motivé l’initiative Convergence Palestine le 18 octobre à Paris (un car affrété par le collectif Palestine est monté d’Angers à cette occasion) et motivera le rassemblement de solidarité (et la pétition !) avec Alain Pojolat, poursuivi en justice pour avoir manifesté sa solidarité avec le peuple de Gaza sous les bombes.
On ne sait ce qui stupéfie le plus, la résistance héroïque des défenseurs – Kurdes et Syriens non kurdes – de Kobané, qui avec leurs armes légères parviennent à endiguer les assauts de jihadistes suréquipés, ou le cynisme des gouvernements occidentaux et de leurs alliés, au premier rang desquels l’État turc, membre de l’Otan et à ce titre premier partenaire des États-Unis dans la région.
Dans une pétition ouverte à la signature de toutes et tous, un large éventail de 200 personnalités exige l’arrêt des poursuites engagées par l’État français contre notre camarade Alain Pojolat, coupable d’avoir voulu exercer son droit de manifester sa solidarité avec le peuple palestinien victime des bombardements israéliens. Signons cette pétition et faisons-la connaître autour de nous !
Environ 200 personnes se sont rassemblées place du ralliement à Angers, samedi 11 octobre à partir de 14h30, pour protester contre le traité de libre échange transatlantique en gestation, dans la plus grande opacité. C’était la première initiative publique du Collectif Stop Tafta angevin. La nécessité de combattre un traité qui donnerait tout le pouvoir aux multinationales des deux rives de l’Atlantique au détriment des derniers lambeaux de pouvoir démocratique en Europe et aux USA en appelle d’autres de toute urgence !
Les salarié-e-s de l’agglomération angevine sont frappés de plein fouet par les politiques austéritaires de “compétitivité” et de maximisation des taux de profit. Les industries les plus marquantes du territoire ferment ou réduisent leur voilure les unes après les autres. Soit parce qu’elles sont les filiales d’une multinationale qui cherche à maximiser ses profits, soit soit parce qu’elles sous-traitent ces multinationales. Ce n’est donc pas un hasard si le nouveau patron du MEDEF angevin est... un assureur ! Contre le caractère ouvertement parasitaire du capitalisme, la seule solution reste la coordination des luttes et la mobilisation pour imposer un rapport de forces directement politique.
Pendant le week-end, le gouvernement préparait son coup, en laissant filtrer dans les médias que le déficit du régime général de la Sécurité sociale en 2014 (le fameux trou de la sécu) était de 11,7 milliards d’euros au lieu des 9 milliards prévus. Pourtant ce déficit n’a rien de spectaculaire si on le compare par exemple aux 40,7 milliards de dollars de dividendes versés aux actionnaires pour le seul 2ème trimestre 2014. Cette propagande sert comme toujours à nous faire payer !
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- samedi 28 juin à 15h30 : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien. Place du Ralliement à Angers.
- Voir aussi Alter49.org, l’agenda alternatif 49, et Le Cercle 49.
Les milliardaires d’extrême droite Bolloré et Stérin ont ouvert leur porte-monnaie afin d’organiser mardi 24 juin un « sommet des libertés » (plutôt un sommet libertarien !) au Casino de Paris. C’est ainsi que la crème du fascisme franchouillard a pu s’autocongratuler et développer ses thématiques libertariennes, socialement régressives et racistes, de Jordan Bardella à Eric Ciotti, de Sarah Knafo à Marion Maréchal, de Nicolas Dupont-Aignan à... Anne-Laure Blin. La députée LR de Saumur-nord avait choisi en 2024 - sans doute pour des raisons électoralistes - de rester à LR plutôt que de rejoindre Ciotti lorsque celui-ci avait signé son pacte faustien avec le RN. Visiblement, elle en a des regrets. Pas étonnant quand on connaît ses prises de position, systématiquement les plus réactionnaires possibles. Et dire que la gauche s’était désisté pour elle l’an passé pour faire barrage au RN !
- Relaxe pour les militantEs indépendantistes Kanak (16/06/2025)
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- Non à la dissolution de la Jeune Garde antifasciste (12/06/2025)
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- Soutien à la flottille de la liberté ! (09/06/2025)
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- À Alès, à Montpellier, comme ailleurs, ripostons dans l’unité à la violence de l’extrême droite ! (02/06/2025)
Le groupe d’opposition “Demain Angers” (PS-LE-Après-PCF) voulait que la municipalité se déclare “ville antifasciste”, à l’instar de Bruxelles par exemple. Le maire C. Béchu s’y est opposé. Normal : son équipe municipale comporte des élus issus de l’extrême droite traditionaliste de “Sens commun” tels que les adjoints Roch Brancour (également promoteur de la “Nuit du Bien commun” du milliardaire d’extrême droite C.-E. Stérin) et Maxence Henry. Afin de donner une explication plus présentable, C. Béchu explique que « l’extrême gauche alimente l’extrême droite » (Ouest-France du 27/05/2025) et qu’il faudrait ne pas condamner l’une sans condamner l’autre. La cause première de la montée de l’extrême droite ne serait donc pas les politiques néolibérales destructrices des amis de C. Béchu et leur complaisance envers le racisme anti-immigré et anti-musulman qui “légitime” cette même extrême droite mais « l’extrême gauche » ! Son explication loufoque tend à relativiser le danger que représente le fascisme. Normal : la droite prépare petit à petit une alliance avec le RN. La leçon de l’Allemagne de 1933, quand les partis du centre et de la droite ont donné le pouvoir à Hitler n’a visiblement pas été apprise par C. Béchu. Mauvais élève !
Mardi 13 mai à 11h30, environ 120 personnes se sont rassemblées devant la préfecture d’Angers à l’occasion de la journée d’action, grèves et manifestations de la Fonction publique à l’appel de CGT, UNSA, FSU, Solidaires, CFE-CGC. Les militant·e·s présent·e·s se revendiquaient essentiellement de la FSU (SNUIPP, SNES, SNESUP...) et de la CGT. Ce sont d’ailleurs ces deux organisations qui ont pris la parole vers midi pour dénoncer la politique austéritaire, antisociale et de saccage de la fonction publique menée par les gouvernements depuis au moins deux décennies. La journée n’était pas vraiment programmée pour être celle d’une grande mobilisation (le taux de grévistes est très faible ; il n’y a eu par exemple que 5% de grévistes au CESAME). Il est pourtant plus que nécessaire de la construire. La CGT appelle à une nouvelle journée début juin. Il faudra cette fois se donner les moyens de la réussir !
Samedi 3 mai à Doué-la-Fontaine, une dizaine d’individus cagoulés et vêtus de noir sont venus perturber pendant plusieurs heures l’entrée du Bioparc au nom de la lutte contre la maltraitance des animaux. Sur leurs uniformes, le logo du “Réseau Pythagore” était reconnaissable. Le site de ce groupuscule antispéciste ne laisse aucun doute sur son orientation politique. Se présentant comme le “bouclier”, le “rempart entre eux et les Animaux”, et “l’épée”, “la force de frappe pour repousser les malveillants”, dispensant des cours de boxe et se proposant “d’expulser sans tolérance de la lutte” ce qui renvoie à l’intersectionnalité, ce groupuscule se rattache à l’extrême droite la plus radicale. Un article de Streetpress lui est consacré, qui pointe ses liens avec d’autres groupuscules néofascistes, liste ses “dérapages” homophobes ou islamophobes et éclaire ses fondements idéologiques, au croisement de la deep ecology et du nationalisme le plus rance. Présent jusqu’ici dans l’est du territoire français, il cherche visiblement à s’implanter à l’ouest (il était déjà intervenu le 18 janvier dans le centre-ville d’Angers)... La vigilance antifasciste s’impose. No pasaran !
Ce sont plus de 160 personnes qui, à Angers samedi 3 mai, ont répondu à l’appel de l’AFPS49 et des organisations solidaires (dont le NPA49) à se rassembler à nouveau pour la Palestine, contre la guerre génocidaire conduite par le gouvernement fasciste de Netanyahou, contre l’épuration ethnique à l’œuvre à Gaza comme en Cisjordanie, contre la complicité active et passive des États impérialistes (et notamment de l’État français ; la vague promesse d’une reconnaissance de l’État palestinien ne s’accompagnant d’aucune sanction contre la puissance occupante). Lors du point d’information, outre le récit dramatique des derniers massacres commis par l’armée israélienne, l’attaque pirate commise par des drones israéliens au large de Malte contre une navire humanitaire de l’ONG Freedom Flotilla Coalition a été vivement dénoncée. A également été affirmée la nécessité de combattre les menées gouvernementales liberticides contre le mouvement de solidarité avec la Palestine (multiplication des poursuites pour de soi-disant “apologies du terrorisme”, dissolution du collectif Urgence Palestine, etc.) La solidarité avec le peuple palestinien est aussi un combat pour les libertés publiques !
Samedi 26 avril se tenait la fête départementale annuelle de Lutte ouvrière (LO), à Trélazé, dans une salle bien remplie. Plusieurs camarades de LO sont intervenus, notamment pour raconter l’histoire de leur intervention politique au CHU d’Angers depuis plus de 50 ans ou encore pour évoquer la montée du nazisme en Allemagne. La porte-parole de LO, Nathalie Arthaud, a développé ensuite son analyse de la situation mondiale, avec le risque accru de guerres provoquées par les rivalités inter-impérialistes. Un débat intéressant a suivi, dans lequel ont été évoquées les limites du syndicalisme et la nécessité de l’action politique.