Le sociologue et militant Ugo Palheta sera à Angers mardi 2 avril à 20h30 pour animer une réunion publique, Salle Daviers (5 Bd Daviers) à l’invitation du NPA49, d’AL49 et du RAAF (réseau antifasciste angevin). Ce sera pour lui l’occasion d’exposer le contenu de son dernier livre, « La possibilité du fascisme. France : trajectoire du désastre » paru aux éditions La Découverte. Nous publions ici deux de ses interviews, l’une donnée à L’Anticapitaliste, l’autre à L’Humanité.
La Déclaration unitaire contre les mesures autoritaires du gouvernement Macron-Philippe que nous relayons ici réunit associations, syndicats, partis (dont le NPA), groupes parlementaires et individus. Elle dénonce la dérive antidémocratique d’un pouvoir incapable de répondre politiquement au mouvement des gilets jaunes et qui use et abuse de la violence policière à l’encontre de toute contestation de sa politique néolibérale.
Près de 2500 à Angers, 200 à Cholet, 200 à Saumur, 70 à Segré, etc. La journée interprofessionnelle de grève et manifestations à l’appel de CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL le mardi 19 mars a mobilisé des secteurs importants de salarié.e.s (par exemple les enseignant.e.s du primaire ; le matin, une AG de 300 personnes a voté majoritairement une grève reconductible à partir du lundi 25 mars). Pour autant, face à un pouvoir qui continue à dynamiter toutes les solidarités sociales et se moque éperdument du danger écologique mortel que fait peser le mode de production capitaliste, la mobilisation reste à construire au-delà de ces secteurs. « Système Dégage ! », ce sera toutes et tous ensemble !
Malgré un programme chargé et étalé tout au long de l’après-midi, la journée de mobilisation “Changeons le Système pas le climat” du samedi 16 mars a été un succès digne de la grande mobilisation lycéenne de la veille. La vélorution a mobilisé près de 200 cyclistes tandis qu’une première marche amalgamait près d’un millier de personnes dès le début de l’après-midi. La marche finale, renforcée par des Gilets jaunes au terme de leur propre manifestation (qui a réuni environ 300 personnes), en a rassemblé quant à elle plus de 2000. Justice sociale, justice climatique, même combat !
C’est une marée de jeunes lycéen.ne.s qui a recouvert les rues du centre-ville d’Angers dans l’après-midi de ce vendredi 15 mars. Une marée de pancartes aussi, avec des slogans inventifs, drôles et le plus souvent radicaux. Le dynamisme juvénile de la manifestation a tout emporté et laisse espérer que cet épisode n’est que le début d’une nouvelle ère de mobilisations. C’est l’avenir de la jeunesse qui est compromis par le “business as usual” des capitalistes et de leurs politiciens au gouvernement. La jeunesse ne se laissera pas faire. Il faut maintenant que l’ensemble de la population se mobilise à ses côtés pour changer le système, pas le climat !
Ce vendredi 15 mars est une journée de grève mondiale de la jeunesse contre le réchauffement climatique. Et la jeunesse se mobilise aussi en Anjou ! Face à un pouvoir capitaliste qui ne voit de problèmes que dans les comportements individuels et surtout pas pas dans les agissements des multinationales, il est temps de dire stop ! Depuis ce matin, les lycéen.ne.s d’Angers, de Saumur et de Cholet se mobilisent. Changeons le système, pas le climat !
Marches pour le climat, des jeunes et de toutes et tous, marches pour la justice sociale et climatique, gilets jaunes, grève et manifestations interprofessionnelles... Le printemps social commence sur les chapeaux de roues. Face à la crise montante et mortifère du capitalisme, l’urgence est celle d’agir pour changer le système. Changer le système, pas le climat. Rétablir la démocratie. Instaurer l’égalité. Toutes et tous dans la rue, à Angers, Cholet, Saumur ou Segré, les vendredi 15, samedi 16 et mardi 19 mars !
À nouveau, pour l’acte XVII, les Gilets jaunes ont défilé par dizaines de milliers en France samedi 9 mars. À Angers, ils étaient près de 300, comme la semaine précédente. La mobilisation perdure, sans toutefois rebondir. Les perspectives restent incertaines même si les convergences avec d’autres luttes ne cessent de se renforcer (par exemple à Angers, avec des militant.e.s en lutte pour le droit au logement ou contre le réchauffement climatique). Mais patience... Le printemps arrive !
Vendredi 8 mars, alors que le Directeur Général de l’ARS des Pays de la Loire visitait plusieurs services du CESAME, une cinquantaine d’agent.e.s a débrayé à l’appel de la CGT et FO pour dénoncer les conséquences des politiques d’austérité, la dégradation des conditions de travail et de soins. Les annonces du DG n’ont pas calmé la colère et la détermination des salarié.e.s qui se sont donné rendez-vous lors der la journée nationale de grève interprofessionnelle et intersyndicale du mardi 19 mars.
Le planning familial, les organisations féministes, de nombreux syndicats, notamment étudiants et lycéens et certaines organisations politiques dont le NPA, appelaient partout à la grève des femmes le vendredi 8 mars à partir de 15h40. Environ 200 personnes ont répondu à cet appel à Angers, dont une majorité de jeunes mobilisé.e.s en particulier par l’UNEF et l’UNL. Un rassemblement dynamique et revendicatif.
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- samedi 4 octobre de 14h30 à 18h : débats sur l’agriculture et les enjeux environnementaux. Salle Pelloutier, Bourse du travail d’Angers.
- samedi 4 octobre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du ralliement à Angers.
- lundi 3 novembre à 20h : « Les Antilles empoisonnées », projection-rencontre autour du documentaire de Nicolas Glimois, aux 400 coups à Angers (Festival AlimenTERRE).
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Comme partout en France jeudi 2 octobre, dans l’urgence, un rassemblement de solidarité avec les membres de la Flottille pour Gaza (Global Sumud Flotilla), arraisonnée illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne, avait été appelé à Angers par l’AFPS49 et ses partenaires, à 18h30 place du Ralliement. Le nombre de personnes rassemblées a rapidement gonflé de 200 au début jusqu’à 300. Ce fut un rassemblement dynamique et très visible. Malgré tout, alors que le génocide est plus que jamais en cours à Gaza, la solidarité en France reste très inférieure à ce qu’elle est ailleurs au niveau international. Il faut donc plus que jamais mobiliser autour de nous, notamment face à un État français décidément complice des crimes de guerre du gang fasciste de Netanyahou, un État qui ne proteste même pas quand le droit maritime international est foulé aux pieds par des pirates israéliens en uniforme...
Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE (FO n’avait pas signé l’appel départemental et a défilé en fin de cortège). C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
- Contre Macron et son monde, construire l’affrontement dans la durée ! (02/10/2025)
- Soutien à la flottille pour Gaza, rassemblements partout en France ce soir ! (02/10/2025)
- Protégeons la flottille ! (01/10/2025)
- Reconnaitre le peuple Palestinien ! Protéger la flottille ! (24/09/2025)
À l’école Dacier d’Angers est expérimentée depuis la rentrée une « rue école » fermée à la circulation des voitures de 8h20 à 8h50, afin que les enfants puissent y arriver tranquillement. Il n’y a pas encore d’installation permanente et ce sont les parents d’élèves qui tiennent la barrière avec un gilet jaune. Cette expérience - prévue pour le moment jusqu’à décembre - semble concluante et bien acceptée. Mais voici qu’au matin du 18 septembre, une voiture de la police nationale déboule en trombe dans la rue, alors même que les enfants sont en train de rentrer. Apercevant les gilets jaunes des parents, la maréchaussée avait vu rouge, imaginant quelque barrage revendicatif en cette journée de mobilisation nationale... Il a fallu détromper ces fins limiers. Comme quoi la retailleauderie paranoïaque ne développe pas la perspicacité !
Entre 230 et 250 personnes contre le massacre à Gaza cet après-midi du samedi 30 août, place du Ralliement, à Angers, avec les organisations habituelles : L’AFPS organisatrice de l’action depuis bientôt 2 ans, Mouvement de la Paix, PCF, JC, Amnesty international, LFI, UCL et NPA-A. Rendez-vous pris, pour samedi prochain.
Samedi 26 juillet 2025, au moins 220 Angevins ont de nouveau répondu présent pour le rassemblement hebdomadaire de la place du Ralliement. En préambule, l’AFPS49 a signalé qu’Angers avait eu la visite le 24 juillet de tout un aréopage de ministres dont le premier d’entre eux. Nous avions demandé audience, soit auprès de Mr Bayrou, soit auprès du ministre du commerce extérieur et des Français de l’étranger, Mr Laurent Saint-Martin. La préfecture a bien relayé et appuyé notre demande mais les ministres ou leurs conseillers n’ont pas daigné nous recevoir. Un rendez-vous téléphonique avec la conseillère de M. Saint-Martin nous a été promis pour le lendemain. Il n’a pas été honoré. Manque de temps ou manque de courage pour assumer la position de non-action de la France ? Des paroles, oui mais sans effets concrets. Alors où sont les actes forts et contraignants pour stopper enfin la famine organisée comme arme de guerre par Israël contre le peuple palestinien ? Dans le même ordre d’idée, nous avons évoqué l’annonce faite par le président de la République de son intention de reconnaître l’État de Palestine en septembre prochain lors de l’Assemblée générale de l’ONU. Pourquoi pas immédiatement alors que le parlement français a voté en ce sens il y a plus de 10 ans ? Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de voir mourir de faim plus de 2 millions de Gazaouis d’ici là ! Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de reconnaître un État de Palestine qui ne sera plus qu’un cimetière ! Le communiqué de l’AFPS du 25/07 a été lu et commenté. Si aujourd’hui l’opinion mondiale oblige les responsables politiques à enfin bouger, c’est pour partie du fait de notre mobilisation indéfectible depuis 22 mois. Nous en avons conscience et c’est ce qui nous fait tenir, encore et encore. Puis une militante a lu le poème écrit à Gaza il y a quelques jours par Ziad Medoukh intitulé « La faim », texte qui nous a tous bouleversé. Deux autres militantes ont lu le long et poignant témoignage de Nour Elassi, jeune Gazaouie exfiltrée de Gaza par la France au début du mois. Elle est maintenant étudiante à Paris mais se sent coupable d’avoir laissé sa famille et ses amis. Nous en avons retenu : « J’ai l’impression d’avoir laissé mon âme sous les décombres et maintenant j’ai peur que quelqu’un marche dessus » et « Pour l’occupant, les mots sont plus dangereux que les balles ». Pour terminer nous avons tous ensemble écouté et chanté l’hymne palestinien « Mawtini » (Ma patrie).
Une nouvelle Pétition adressée au premier Ministre par l’intersyndicale CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, FSU, SOLIDAIRES peut être signée en ligne, qui exige l’abandon des mesures de régression sociale et écologique annoncées par F. Bayrou. Pour ses rédacteurs, le problème de la dette, c’est d’abord le manque de recettes et il faut « ouvrir la discussion sur la progressivité de la fiscalité, la contribution des hauts revenus ou des patrimoines, et la légitimité de l’optimisation fiscale ! ». Il faut aussi mobiliser à la base pour créer un rapport de forces dans les lieux de travail et dans la rue. À cet égard, signer la pétition intersyndicale peut être un premier pas et donner confiance à toutes celles et tous ceux qui n’en peuvent plus de ce gouvernement aux ordres des capitalistes. Signons-là !