1er, 3, 5, 22 mai... Le NPA appelle à se mobiliser, dans tous les secteurs, et à construire partout des collectifs de défense des cheminotEs, des services publics et contre Macron. Ainsi construirons-nous une opposition capable de faire céder un gouvernement des riches arrogant et répressif, et d’engager une contre-offensive du monde du travail !
Mardi 1er mai, jour international des travailleur.se.s, manifestons à 10h30 à Angers (pl. Imbach), Cholet (pl. Travot), Saumur (pl. Bilange) et Segré (pl. du Port) à l’appel unitaire de CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL !
Près de 2 500 personnes (selon la CGT ; 1800 selon la police) ont manifesté ce jeudi dans le centre-ville d’Angers (Ralliement, rue d’Alsace, bd Foch, rue de la préfecture, gare, rue Hoche, Toussaint, Ralliement) dans le cadre de la manifestation interprofessionnelle de « convergence des luttes » organisée par l’intersyndicale CGT-FSU-UNEF-UNL et des intersyndicales plus larges (avec Solidaires) de secteurs en lutte (cheminots, pas moins de 400 hospitaliers, université, lycéen.ne.s...). Une mobilisation encourageante, même si, à Angers, elle reste très en-deçà de ce qu’elle peut être dans les grandes villes voisines (Tours, Rennes, Nantes...) Contre Macron et son monde, la colère monte !
Environ 10.000 personnes ont manifesté à Nantes ce samedi contre la violente intervention policière à Notre-Dame-des-Landes et la vandalisation par les gendarmes des habitations et locaux de la ZAD (“déconstruction” dans la novlangue du gouvernement). La solidarité avec les habitants de la ZAD ne faiblit donc pas ! Notre camarade Bertrand, du NPA44, revient ici sur le fil des événements de cette semaine et en analyse les enjeux.
Dans un Communiqué commun du 12 avril, 35 organisations (dont, pour les partis, le NPA, le PG, FI, AL, Ensemble !, EELV, mais aussi des syndicats et des associations comme ATTAC, Greenpeace ou le Mouvement de la paix) appellent le gouvernement à mettre en terme aux scandaleuses violences policières en cours à Notre-Dame-des-Landes. Face au déchaînement de la propagande gouvernementale contre les zadistes, retournant contre eux les accusations de violence alors que des gendarmes surarmés chargent des manifestants et que leurs pelleteuses détruisent les habitations de la Zad (pardon, “déconstruisent” si l’on en croit la novlangue orwellienne du gouvernement), puisse ce communiqué permettre de rétablir les faits !
Face à un gouvernement autoritaire et violent, qui fait donner ses troupes surarmées contre les habitant.e.s de la Zad à NDDL ou contre les étudiant.e.s en lutte, qui veut casser tous les services publics, les statuts, les systèmes de retraite, et livrer les biens communs à une infime minorité de capitalistes irresponsables, tant du point de vue social que du point de vue écologique, l’heure est la mobilisation. NON à Macron et à son monde déshumanisé, OUI à un autre monde !
Une nouvelle tentative d’expulsions sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes a commencé avant l’aube de ce lundi 9 avril 2018. Dès 3h, l’opération s’est déployée dans toute sa brutalité : interminables files de fourgons bleu marine, chars blindés, lacrymos, premiers blessés et premières arrestations. Les gendarmes ont annoncé que les journalistes étaient strictement interdits “sur tout le dispositif” et leur ont bloqué l’accès au site… À Angers, un premier rendez-vous de solidarité avec la ZAD a rassemblé à 18h plus de 100 personnes devant la préfecture.
La convergence des manifestations du CHU et du CESAME a été un succès, jeudi 5 avril : pas moins de 500 manifestant.e.s. Devant le mépris des gestionnaires obtus qui prétendent diriger le CHU, une nouvelle journée de mobilisation est prévue le mardi 10 Avril 2018 avec occupation du CHU. Une intersyndicale départementale des syndicats de la santé se réunira le même jour pour construire la suite d’un mouvement qui ne cesse de prendre de l’ampleur.
L’objectif des Macron-Philippe-Pépy est de casser le service public ferroviaire : privatiser pour augmenter les prix, supprimer les petites lignes, casser le statut des cheminots, supprimer des postes. La grève à la SNCF a donc démarré. Elle s’annonce historique dans son ampleur : en effet, ce sont tous les cheminotEs qui se sentent concernéEs par les attaques gouvernementales, y compris les cadres. Au matin du 3 avril, ce sont pas moins de 77% des conducteurs et conductrices qui sont en grève !
La mobilisation des hospitaliers ne faiblit pas en Anjou :
- au CHU le jeudi 29 mars, à l’appel de la CGT, FO et Sud, 300 grévistes avaient débrayé pendant le CTE où la direction annonçait 170 suppressions de postes. Aujourd’hui vendredi 30, la direction avait déplacé le conseil de surveillance à la Préfecture par crainte d’un nouvel envahissement ! Cela n’a pas empêché 200 salarié.e.s de manifester du CHU à la Préfecture et l’intersyndicale appelle à grève et manifestation jeudi 5 avril à Angers ;
- au CESAME (hôpital psy) : un débrayage a eu lieu au moment du conseil de surveillance ce vendredi 30 mars. 150 agents ont envahi le conseil pendant 1h30 et dénoncé les conditions de travail... L’intersyndicale CGT et FO appelle également à grève et manifestation jeudi 5 avril.
La grève était appelée au CHU d’Angers, aujourd’hui jeudi 29 mars, par l’intersyndicale CGT-SUD-FO. Environ 300 hospitalier.e.s se sont rassemblé.e.s à 9h30 devant le bâtiment administratif pour protester contre le plan d’économie qui va se traduire par la suppression de 150 à 200 postes (non remplacement des départs en retraites et de mutations et suppressions de CDD). Compte rendu de la CGT...
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- samedi 4 octobre de 14h30 à 18h : débats sur l’agriculture et les enjeux environnementaux. Salle Pelloutier, Bourse du travail d’Angers.
- samedi 4 octobre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du ralliement à Angers.
- lundi 3 novembre à 20h : « Les Antilles empoisonnées », projection-rencontre autour du documentaire de Nicolas Glimois, aux 400 coups à Angers (Festival AlimenTERRE).
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Comme partout en France jeudi 2 octobre, dans l’urgence, un rassemblement de solidarité avec les membres de la Flottille pour Gaza (Global Sumud Flotilla), arraisonnée illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne, avait été appelé à Angers par l’AFPS49 et ses partenaires, à 18h30 place du Ralliement. Le nombre de personnes rassemblées a rapidement gonflé de 200 au début jusqu’à 300. Ce fut un rassemblement dynamique et très visible. Malgré tout, alors que le génocide est plus que jamais en cours à Gaza, la solidarité en France reste très inférieure à ce qu’elle est ailleurs au niveau international. Il faut donc plus que jamais mobiliser autour de nous, notamment face à un État français décidément complice des crimes de guerre du gang fasciste de Netanyahou, un État qui ne proteste même pas quand le droit maritime international est foulé aux pieds par des pirates israéliens en uniforme...
Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE (FO n’avait pas signé l’appel départemental et a défilé en fin de cortège). C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
- Contre Macron et son monde, construire l’affrontement dans la durée ! (02/10/2025)
- Soutien à la flottille pour Gaza, rassemblements partout en France ce soir ! (02/10/2025)
- Protégeons la flottille ! (01/10/2025)
- Reconnaitre le peuple Palestinien ! Protéger la flottille ! (24/09/2025)
À l’école Dacier d’Angers est expérimentée depuis la rentrée une « rue école » fermée à la circulation des voitures de 8h20 à 8h50, afin que les enfants puissent y arriver tranquillement. Il n’y a pas encore d’installation permanente et ce sont les parents d’élèves qui tiennent la barrière avec un gilet jaune. Cette expérience - prévue pour le moment jusqu’à décembre - semble concluante et bien acceptée. Mais voici qu’au matin du 18 septembre, une voiture de la police nationale déboule en trombe dans la rue, alors même que les enfants sont en train de rentrer. Apercevant les gilets jaunes des parents, la maréchaussée avait vu rouge, imaginant quelque barrage revendicatif en cette journée de mobilisation nationale... Il a fallu détromper ces fins limiers. Comme quoi la retailleauderie paranoïaque ne développe pas la perspicacité !
Entre 230 et 250 personnes contre le massacre à Gaza cet après-midi du samedi 30 août, place du Ralliement, à Angers, avec les organisations habituelles : L’AFPS organisatrice de l’action depuis bientôt 2 ans, Mouvement de la Paix, PCF, JC, Amnesty international, LFI, UCL et NPA-A. Rendez-vous pris, pour samedi prochain.
Samedi 26 juillet 2025, au moins 220 Angevins ont de nouveau répondu présent pour le rassemblement hebdomadaire de la place du Ralliement. En préambule, l’AFPS49 a signalé qu’Angers avait eu la visite le 24 juillet de tout un aréopage de ministres dont le premier d’entre eux. Nous avions demandé audience, soit auprès de Mr Bayrou, soit auprès du ministre du commerce extérieur et des Français de l’étranger, Mr Laurent Saint-Martin. La préfecture a bien relayé et appuyé notre demande mais les ministres ou leurs conseillers n’ont pas daigné nous recevoir. Un rendez-vous téléphonique avec la conseillère de M. Saint-Martin nous a été promis pour le lendemain. Il n’a pas été honoré. Manque de temps ou manque de courage pour assumer la position de non-action de la France ? Des paroles, oui mais sans effets concrets. Alors où sont les actes forts et contraignants pour stopper enfin la famine organisée comme arme de guerre par Israël contre le peuple palestinien ? Dans le même ordre d’idée, nous avons évoqué l’annonce faite par le président de la République de son intention de reconnaître l’État de Palestine en septembre prochain lors de l’Assemblée générale de l’ONU. Pourquoi pas immédiatement alors que le parlement français a voté en ce sens il y a plus de 10 ans ? Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de voir mourir de faim plus de 2 millions de Gazaouis d’ici là ! Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de reconnaître un État de Palestine qui ne sera plus qu’un cimetière ! Le communiqué de l’AFPS du 25/07 a été lu et commenté. Si aujourd’hui l’opinion mondiale oblige les responsables politiques à enfin bouger, c’est pour partie du fait de notre mobilisation indéfectible depuis 22 mois. Nous en avons conscience et c’est ce qui nous fait tenir, encore et encore. Puis une militante a lu le poème écrit à Gaza il y a quelques jours par Ziad Medoukh intitulé « La faim », texte qui nous a tous bouleversé. Deux autres militantes ont lu le long et poignant témoignage de Nour Elassi, jeune Gazaouie exfiltrée de Gaza par la France au début du mois. Elle est maintenant étudiante à Paris mais se sent coupable d’avoir laissé sa famille et ses amis. Nous en avons retenu : « J’ai l’impression d’avoir laissé mon âme sous les décombres et maintenant j’ai peur que quelqu’un marche dessus » et « Pour l’occupant, les mots sont plus dangereux que les balles ». Pour terminer nous avons tous ensemble écouté et chanté l’hymne palestinien « Mawtini » (Ma patrie).
Une nouvelle Pétition adressée au premier Ministre par l’intersyndicale CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, FSU, SOLIDAIRES peut être signée en ligne, qui exige l’abandon des mesures de régression sociale et écologique annoncées par F. Bayrou. Pour ses rédacteurs, le problème de la dette, c’est d’abord le manque de recettes et il faut « ouvrir la discussion sur la progressivité de la fiscalité, la contribution des hauts revenus ou des patrimoines, et la légitimité de l’optimisation fiscale ! ». Il faut aussi mobiliser à la base pour créer un rapport de forces dans les lieux de travail et dans la rue. À cet égard, signer la pétition intersyndicale peut être un premier pas et donner confiance à toutes celles et tous ceux qui n’en peuvent plus de ce gouvernement aux ordres des capitalistes. Signons-là !