Avec le Comité d’action publique 2022 (CAP22), le gouvernement affirme vouloir mener une attaque en règle contre les services publics. Il veut s’en prendre au statut des fonctionnaires, supprimer 120 000 postes et multiplier les privatisations. Pour en finir avec ce gouvernement antisocial, nous avons besoin de grandes journées de mobilisations, comme celle du jeudi 22 mars appelée par tous les syndicats. Et au-delà : un plan de bataille, le plus unitaire possible, pour un mouvement d’ensemble, un affrontement généralisé avec le gouvernement et le patronat.
À l’appel des organisations Alternative Libertaire 49 - Le Cercle - Le Cri des Caves - Coordination Pas Sans Nous 49 - Collectif Émancipation - CNT 49 - Collectif de Soutien Aux Sans-Papiers 49 - France Insoumise 49 - FSU 49 - Jeunes Communistes 49 - LEA 49 - Nouveau Parti Anticapitaliste 49 - Nuit Debout Angers - Réseau Angevin Antifasciste - Rudy’s Back - UNEF Angers - Union Syndicale Solidaires 49, une manifestation partira SAMEDI 24 FÉVRIER à 15 h de la place Imbach, devant la Bourse du Travail d’Angers, pour exiger la fermeture du bar associatif d’extrême droite L’Alvarium. Lire le tract d’appel.
Après avoir attaqué les droits des salariéEs du privé avec la loi travail XXL, le gouvernement a désormais dans le viseur la fonction publique et les fonctionnaires. C’est le rôle du Comité d’action publique 2022 (CAP 22) dont le cahier des charges est très clair : transfert, privatisation, abandon de missions et mise en cause du statut des fonctionnaires. Cette attaque contre les fonctionnaires non seulement dégraderait la situation des fonctionnaires mais remettrait gravement en cause les services rendus à l’ensemble de la population. Une grève unitaire est d’ores et déjà programmée jeudi 22 mars. Cela ne suffira pas. Il faut donc travailler dès aujourd’hui à la construction d’un mouvement d’ensemble sur la durée et qui soit le plus large possible !
Le samedi 10 février, près de 30 000 personnes ont convergé sur la Zad de Notre-Dame-des-Landes. Un carnaval de la victoire contre le projet d’aéroport, mais aussi une nouvelle démonstration de force face au gouvernement. La terre ne doit pas aller aux capitalistes, destructeurs de notre environnement et de notre avenir, mais aux paysans et aux Zadistes !
Les salarié.e.s des EHPAD (Établissements d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes) se sont fait entendre ce matin dans les rues d’Angers. Ils n’étaient pas moins de 1500 à exprimer leur colère et exiger des budgets à la hauteur des besoins. Que ce soit dans le secteur privé ou dans public, les employeurs utilisent les mêmes "recettes", le personnel constitue ainsi la principale variable d’ajustement ! Horaires illégaux, rappels sur les repos pour venir travailler, effectifs insuffisants pour prendre en charge les résident.e.s de façon satisfaisante... Mais la colère monte : résistance !
Mardi 30 janvier en Maine-et-Loire sera marqué par une grève des salariéEs des EHPAD (comme dans toute la France) et un rassemblement à 10h30 place Leclerc à Angers avant manifestation vers la préfecture. Le NPA qui défend un financement unique, à 100% de la "dépendance" par la Sécurité sociale (ce qui implique, l’augmentation des cotisations sociales patronales ainsi qu’un tout autre partage des richesses) et un service public de la perte d’autonomie sera aux côtés des manifestantEs (lire le tract du NPA49 distribué à Angers le 30 janvier 2018).
Samedi 20 janvier, le dictateur turc Erdoğan a lancé une offensive de son armée contre les Kurdes du canton d’Afrin, l’un des trois cantons du Rojava, au nord de la Syrie. Les bombardements intensifs de ce week-end ont déjà causé onze morts et des dizaines de blessés civils. Comme pendant la bataille de Kobanê, seule la solidarité et la mobilisation internationales pourront faire changer le rapport de forces. Nous exigeons, en outre, des sanctions immédiates, politiques et économiques, contre le dictateur turc et son gouvernement, jusqu’à l’arrêt de leur agression, comme nous exigeons l’arrêt de l’offensive du dictateur syrien El-Assad contre Idlib et la révolution syrienne.
Trump et Nétanyahoo symbolisent à eux deux la spirale mortifère dans laquelle, en Palestine occupée, se sont engagés l’État d’Israël et son parrain, les USA : reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël au mépris de sa partie palestinienne occupée, colonisation accélérée au mépris des Palestiniens et du droit international. Les incarcérations arbitraires et scandaleuses du franco-palestinien Salah Hamouri et de la jeune Ahed Tamimi ne sont que la partie émergée de l’effroyable répression sans fin qu’induit la poursuite de l’occupation et la négation des droits palestiniens. Hélas, les protestations des États européens, celles de l’État français en premier lieu, sont au mieux verbales et cachent mal une complicité de fait. La solidarité avec le peuple palestinien comme celle qui s’est exprimée samedi 20 janvier après-midi, place du Ralliement à Angers, à l’appel de l’AFPS49 doit se renforcer d’urgence.
Le gouvernement a finalement été contraint d’abandonner le projet destructeur d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes. La résistance des habitants et des Zadistes aura eu eu raison des élus technocrates et productivistes autoritaires comme J.M. Ayrault ou B. Retailleau et de la multinationale Vinci. Mais le combat n’est pas terminé. Contre les projets d’évacuation violente de la ZAD par les forces de répression de l’État français, la solidarité avec les Zadistes s’impose plus que jamais. Toutes et tous au rassemblement festif du samedi 10 février à NDDL (Inscriptions au car partant d’Angers ICI) !
Le mardi 30 janvier, les salariéEs des EHPAD (maisons de retraite médicalisées) feront grève et manifesteront dans toute la France (à Angers à 10h30, place Leclerc). Faute de personnel suffisant, leur quotidien consiste, souvent, à faire une toilette en quelques minutes, donner les repas à la hâte, laisser les résidents des journées entière au lit ou devant un poste de télévision. Ils/elles ne supportent plus les politiques d’austérité et la maltraitance institutionnelle qui touche à la fois les personnels (précaires, mal payés, subissant des conditions de travail et un « management » insupportables) et les personnes dont ils/elles ont la charge.
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- samedi 4 octobre de 14h30 à 18h : débats sur l’agriculture et les enjeux environnementaux. Salle Pelloutier, Bourse du travail d’Angers.
- samedi 4 octobre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du ralliement à Angers.
- lundi 3 novembre à 20h : « Les Antilles empoisonnées », projection-rencontre autour du documentaire de Nicolas Glimois, aux 400 coups à Angers (Festival AlimenTERRE).
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Comme partout en France jeudi 2 octobre, dans l’urgence, un rassemblement de solidarité avec les membres de la Flottille pour Gaza (Global Sumud Flotilla), arraisonnée illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne, avait été appelé à Angers par l’AFPS49 et ses partenaires, à 18h30 place du Ralliement. Le nombre de personnes rassemblées a rapidement gonflé de 200 au début jusqu’à 300. Ce fut un rassemblement dynamique et très visible. Malgré tout, alors que le génocide est plus que jamais en cours à Gaza, la solidarité en France reste très inférieure à ce qu’elle est ailleurs au niveau international. Il faut donc plus que jamais mobiliser autour de nous, notamment face à un État français décidément complice des crimes de guerre du gang fasciste de Netanyahou, un État qui ne proteste même pas quand le droit maritime international est foulé aux pieds par des pirates israéliens en uniforme...
Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE (FO n’avait pas signé l’appel départemental et a défilé en fin de cortège). C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
- Contre Macron et son monde, construire l’affrontement dans la durée ! (02/10/2025)
- Soutien à la flottille pour Gaza, rassemblements partout en France ce soir ! (02/10/2025)
- Protégeons la flottille ! (01/10/2025)
- Reconnaitre le peuple Palestinien ! Protéger la flottille ! (24/09/2025)
À l’école Dacier d’Angers est expérimentée depuis la rentrée une « rue école » fermée à la circulation des voitures de 8h20 à 8h50, afin que les enfants puissent y arriver tranquillement. Il n’y a pas encore d’installation permanente et ce sont les parents d’élèves qui tiennent la barrière avec un gilet jaune. Cette expérience - prévue pour le moment jusqu’à décembre - semble concluante et bien acceptée. Mais voici qu’au matin du 18 septembre, une voiture de la police nationale déboule en trombe dans la rue, alors même que les enfants sont en train de rentrer. Apercevant les gilets jaunes des parents, la maréchaussée avait vu rouge, imaginant quelque barrage revendicatif en cette journée de mobilisation nationale... Il a fallu détromper ces fins limiers. Comme quoi la retailleauderie paranoïaque ne développe pas la perspicacité !
Entre 230 et 250 personnes contre le massacre à Gaza cet après-midi du samedi 30 août, place du Ralliement, à Angers, avec les organisations habituelles : L’AFPS organisatrice de l’action depuis bientôt 2 ans, Mouvement de la Paix, PCF, JC, Amnesty international, LFI, UCL et NPA-A. Rendez-vous pris, pour samedi prochain.
Samedi 26 juillet 2025, au moins 220 Angevins ont de nouveau répondu présent pour le rassemblement hebdomadaire de la place du Ralliement. En préambule, l’AFPS49 a signalé qu’Angers avait eu la visite le 24 juillet de tout un aréopage de ministres dont le premier d’entre eux. Nous avions demandé audience, soit auprès de Mr Bayrou, soit auprès du ministre du commerce extérieur et des Français de l’étranger, Mr Laurent Saint-Martin. La préfecture a bien relayé et appuyé notre demande mais les ministres ou leurs conseillers n’ont pas daigné nous recevoir. Un rendez-vous téléphonique avec la conseillère de M. Saint-Martin nous a été promis pour le lendemain. Il n’a pas été honoré. Manque de temps ou manque de courage pour assumer la position de non-action de la France ? Des paroles, oui mais sans effets concrets. Alors où sont les actes forts et contraignants pour stopper enfin la famine organisée comme arme de guerre par Israël contre le peuple palestinien ? Dans le même ordre d’idée, nous avons évoqué l’annonce faite par le président de la République de son intention de reconnaître l’État de Palestine en septembre prochain lors de l’Assemblée générale de l’ONU. Pourquoi pas immédiatement alors que le parlement français a voté en ce sens il y a plus de 10 ans ? Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de voir mourir de faim plus de 2 millions de Gazaouis d’ici là ! Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de reconnaître un État de Palestine qui ne sera plus qu’un cimetière ! Le communiqué de l’AFPS du 25/07 a été lu et commenté. Si aujourd’hui l’opinion mondiale oblige les responsables politiques à enfin bouger, c’est pour partie du fait de notre mobilisation indéfectible depuis 22 mois. Nous en avons conscience et c’est ce qui nous fait tenir, encore et encore. Puis une militante a lu le poème écrit à Gaza il y a quelques jours par Ziad Medoukh intitulé « La faim », texte qui nous a tous bouleversé. Deux autres militantes ont lu le long et poignant témoignage de Nour Elassi, jeune Gazaouie exfiltrée de Gaza par la France au début du mois. Elle est maintenant étudiante à Paris mais se sent coupable d’avoir laissé sa famille et ses amis. Nous en avons retenu : « J’ai l’impression d’avoir laissé mon âme sous les décombres et maintenant j’ai peur que quelqu’un marche dessus » et « Pour l’occupant, les mots sont plus dangereux que les balles ». Pour terminer nous avons tous ensemble écouté et chanté l’hymne palestinien « Mawtini » (Ma patrie).
Une nouvelle Pétition adressée au premier Ministre par l’intersyndicale CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, FSU, SOLIDAIRES peut être signée en ligne, qui exige l’abandon des mesures de régression sociale et écologique annoncées par F. Bayrou. Pour ses rédacteurs, le problème de la dette, c’est d’abord le manque de recettes et il faut « ouvrir la discussion sur la progressivité de la fiscalité, la contribution des hauts revenus ou des patrimoines, et la légitimité de l’optimisation fiscale ! ». Il faut aussi mobiliser à la base pour créer un rapport de forces dans les lieux de travail et dans la rue. À cet égard, signer la pétition intersyndicale peut être un premier pas et donner confiance à toutes celles et tous ceux qui n’en peuvent plus de ce gouvernement aux ordres des capitalistes. Signons-là !