La chaîne se déroulera à Paris, de la Défense à Bercy, de 14h à 15h30 et sera suivie à partir de 17h d’un rassemblement-concert à Bastille. Le NPA animera le point de rassemblement devant l’Assemblée Nationale sur le thème "transition énergétique, alternatives" face au lieu de décision qu’est le parlement. Rejoignez-nous à partir de 13h. Un départ d’Angers est organisé par SDN49 à 7h (Retour vers 22h). Tarifs A/R : 25€ ou 15€. Inscription : chaine2013angers@gmail.com ou 06 17 74 36 13
Depuis lundi 18 février, le Syndicat Mixte Aéroportuaire (SMA) lance une grosse propagande de communication d’un montant de 300 k€ en faveur de NDDL. Des annonces sont faites en particulier sur les panneaux publicitaires lumineux à Angers ! La Commission Actions du Collectif de Citoyens Angevins contre le Projet d’Aéroport de Notre Dame Des Landes appelle les Angevin-e-s à participer à son action du samedi 23 février 2013 à 15h45, Place du Ralliement (en haut de la rue Lenepveu). L’objectif est d’informer les citoyens sur les dépenses publiques pour faite cette campagne et de leur demander “Et vous ? Que feriez vous pour la collectivité avec 300 000€ ?” Les réponses seront envoyées au Président du SMA qui n’est autre que J. AUXIETTE, président P“S” du Conseil régional...
Alors qu’à Angers, après quelques velléités de résistance, la présidence de l’université a capitulé devant le ministère et accepté de nouvelles suppressions de postes (gels) et de nouvelles restrictions budgétaires, la ministre Fioraso (surnommée Miss Dollar dans son université de Grenoble) s’apprête à faire passer une nouvelle loi sur l’enseignement supérieur et la recherche. Loin de remettre en cause la loi LRU de Sarkozy-Pécresse, elle s’inscrit dans sa continuité et l’aggrave même sur de nombreux points. Analyse...
Le NPA a tenu son deuxième congrès le weekend dernier à St Denis, en Seine Saint Denis. Après une succession de séquences électorales difficiles, un découragement d’une partie des militants (qui, certes, se retrouve aussi dans toutes les organisations politiques et syndicales en ces temps de “crise”), et une scission douloureuse avec nos camarades de la Gauche Anticapitaliste, le congrès se voulait refondateur de notre organisation. Les débats ont pu se dérouler fraternellement, par delà les divergences, et une majorité s’est dégagée pour construire une opposition de gauche au gouvernement en dégageant la perspective d’une alternative politique en rupture avec le capitalisme, d’un gouvernement anti-austérité. À l’heure où, avec le MEDEF, le gouvernement Hollande-Ayrault lance une offensive ouverte contre les salaires, le droit du travail, le secteur public (par exemple à l’université) et même les militants syndicaux, c’est en effet plus que nécessaire...
Ce jeudi 31 janvier aura vu la première mobilisation syndicale unitaire CGT-FSU-Solidaires contre l’austérité dans les services publics sous le gouvernement Hollande-Ayrault. Si la mobilisation ne fut pas négligeable (plus de 100.000 manifestants au niveau national) elle reste encore largement insuffisante eût égard aux enjeux de l’heure. La prise de conscience qu’il faut rompre d’urgence avec les politiques capitalistes progresse néanmoins dans les secteurs publics, alors qu’une certaine coordination des luttes se met en place dans le privé. En ce sens, une mobilisation comme celle d’Angers avec plus de 300 personnes devant la préfecture est un premier point d’appui.
Chaque semaine, pour ne pas dire chaque jour, une annonce de fermeture d’entreprise, de licenciement, perce difficilement le véritable mur du silence médiatique, élevé au nom de la guerre colonialiste ou de la lutte contre les prétendus terroristes, ou des faits divers. Ce qui manque, c’est la construction d’un rapport de forces global, au moins au niveau du pays, pour imposer des reculs. L’interdiction des licenciements, la reprise de l’activité sous des formes variées, la nationalisation sous contrôle des salariéEs et de la population, autant d’outils qui peuvent donner des perspectives aux mobilisations. Analyse...
Ce sont environ 600 personnes qui ont manifesté samedi après-midi, 19 janvier, dans les rues d’Angers (100 à Saumur) pour défendre l’égalité des droits et en particulier ceux au mariage pour tous et à la PMA. Une première riposte des plus encourageante (en attendant la manifestation nationale du dimanche 27 janvier) à l’offensive réactionnaire des bigots et des fascistes contre le (trop timide) projet de loi sur le mariage pour tous discuté à l’Assemblée nationale. Non, les religions et les homophobes n’auront pas le dernier mot !
Environ 1300 personnes ont manifesté sur les boulevards et devant la préfecture d’Angers pour protester contre l’austérité budgétaire et l’étranglement de l’université d’Angers. Parmi elles, près d’un millier de personnels (enseignants-chercheurs, enseignant-e-s, BIATOSS) avaient répondu à l’appel de l’intersyndicale. C’est un indéniable succès et l’expression du refus massif d’une université condamnée à supprimer des emplois et à réduire son offre de formation et de recherche.
Début d’année en fanfare pour les opposantEs à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes : 20 000 personnes sont passées au festival organisé sur la Zad, dans une ambiance à la Woodstock version bretonne, pour assister aux concerts rap, reggae et punk organisés en soutien au mouvement. C’est dire à quel point Notre-Dame-des-Landes est devenue une lutte et un lieu populaires...
L’austérité budgétaire a pris un tour dramatique à l’Université d’Angers et les universitaires se mobilisent. Une grande manifestation est convoquée par l’intersyndicale mardi 15 janvier à 11h, place Mitterrand à Angers, et relayée par un grand nombre d’universitaires. Mais l’université d’Angers ne doit pas restée isolée. Face à la pénurie organisée par l’État, c’est tout le supérieur qui doit se soulever pour obtenir des conditions dignes pour l’enseignement et la recherche, la résorption de la précarité, des créations d’emplois (au lieu de suppressions), un rattrapage des salaires, en particulier pour les catégories BIATSS les plus défavorisées. Angers n’est qu’un début !
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- samedi 28 juin à 15h30 : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien. Place du Ralliement à Angers.
- Voir aussi Alter49.org, l’agenda alternatif 49, et Le Cercle 49.
Les milliardaires d’extrême droite Bolloré et Stérin ont ouvert leur porte-monnaie afin d’organiser mardi 24 juin un « sommet des libertés » (plutôt un sommet libertarien !) au Casino de Paris. C’est ainsi que la crème du fascisme franchouillard a pu s’autocongratuler et développer ses thématiques libertariennes, socialement régressives et racistes, de Jordan Bardella à Eric Ciotti, de Sarah Knafo à Marion Maréchal, de Nicolas Dupont-Aignan à... Anne-Laure Blin. La députée LR de Saumur-nord avait choisi en 2024 - sans doute pour des raisons électoralistes - de rester à LR plutôt que de rejoindre Ciotti lorsque celui-ci avait signé son pacte faustien avec le RN. Visiblement, elle en a des regrets. Pas étonnant quand on connaît ses prises de position, systématiquement les plus réactionnaires possibles. Et dire que la gauche s’était désisté pour elle l’an passé pour faire barrage au RN !
- Relaxe pour les militantEs indépendantistes Kanak (16/06/2025)
- L’Iran attaqué, Israël impuni : la voix des peuples étouffée (13/06/2025)
- Non à la dissolution de la Jeune Garde antifasciste (12/06/2025)
- Sommet sur les Océans, beaucoup d’écume pour rien ! (11/06/2025)
- La Californie reprend la rue contre Trump et ses raids racistes (10/06/2025)
- Soutien à la flottille de la liberté ! (09/06/2025)
- Libération immédiate des prisonnier·es politiques de Kanaky ! (04/06/2025)
- Meurtre raciste dans le Var : jusqu’à quand va-t-on compter les morts ? (02/06/2025)
- Le gouvernement est islamophobe, on le savait ! (02/06/2025)
- À Alès, à Montpellier, comme ailleurs, ripostons dans l’unité à la violence de l’extrême droite ! (02/06/2025)
Le groupe d’opposition “Demain Angers” (PS-LE-Après-PCF) voulait que la municipalité se déclare “ville antifasciste”, à l’instar de Bruxelles par exemple. Le maire C. Béchu s’y est opposé. Normal : son équipe municipale comporte des élus issus de l’extrême droite traditionaliste de “Sens commun” tels que les adjoints Roch Brancour (également promoteur de la “Nuit du Bien commun” du milliardaire d’extrême droite C.-E. Stérin) et Maxence Henry. Afin de donner une explication plus présentable, C. Béchu explique que « l’extrême gauche alimente l’extrême droite » (Ouest-France du 27/05/2025) et qu’il faudrait ne pas condamner l’une sans condamner l’autre. La cause première de la montée de l’extrême droite ne serait donc pas les politiques néolibérales destructrices des amis de C. Béchu et leur complaisance envers le racisme anti-immigré et anti-musulman qui “légitime” cette même extrême droite mais « l’extrême gauche » ! Son explication loufoque tend à relativiser le danger que représente le fascisme. Normal : la droite prépare petit à petit une alliance avec le RN. La leçon de l’Allemagne de 1933, quand les partis du centre et de la droite ont donné le pouvoir à Hitler n’a visiblement pas été apprise par C. Béchu. Mauvais élève !
Mardi 13 mai à 11h30, environ 120 personnes se sont rassemblées devant la préfecture d’Angers à l’occasion de la journée d’action, grèves et manifestations de la Fonction publique à l’appel de CGT, UNSA, FSU, Solidaires, CFE-CGC. Les militant·e·s présent·e·s se revendiquaient essentiellement de la FSU (SNUIPP, SNES, SNESUP...) et de la CGT. Ce sont d’ailleurs ces deux organisations qui ont pris la parole vers midi pour dénoncer la politique austéritaire, antisociale et de saccage de la fonction publique menée par les gouvernements depuis au moins deux décennies. La journée n’était pas vraiment programmée pour être celle d’une grande mobilisation (le taux de grévistes est très faible ; il n’y a eu par exemple que 5% de grévistes au CESAME). Il est pourtant plus que nécessaire de la construire. La CGT appelle à une nouvelle journée début juin. Il faudra cette fois se donner les moyens de la réussir !
Samedi 3 mai à Doué-la-Fontaine, une dizaine d’individus cagoulés et vêtus de noir sont venus perturber pendant plusieurs heures l’entrée du Bioparc au nom de la lutte contre la maltraitance des animaux. Sur leurs uniformes, le logo du “Réseau Pythagore” était reconnaissable. Le site de ce groupuscule antispéciste ne laisse aucun doute sur son orientation politique. Se présentant comme le “bouclier”, le “rempart entre eux et les Animaux”, et “l’épée”, “la force de frappe pour repousser les malveillants”, dispensant des cours de boxe et se proposant “d’expulser sans tolérance de la lutte” ce qui renvoie à l’intersectionnalité, ce groupuscule se rattache à l’extrême droite la plus radicale. Un article de Streetpress lui est consacré, qui pointe ses liens avec d’autres groupuscules néofascistes, liste ses “dérapages” homophobes ou islamophobes et éclaire ses fondements idéologiques, au croisement de la deep ecology et du nationalisme le plus rance. Présent jusqu’ici dans l’est du territoire français, il cherche visiblement à s’implanter à l’ouest (il était déjà intervenu le 18 janvier dans le centre-ville d’Angers)... La vigilance antifasciste s’impose. No pasaran !
Ce sont plus de 160 personnes qui, à Angers samedi 3 mai, ont répondu à l’appel de l’AFPS49 et des organisations solidaires (dont le NPA49) à se rassembler à nouveau pour la Palestine, contre la guerre génocidaire conduite par le gouvernement fasciste de Netanyahou, contre l’épuration ethnique à l’œuvre à Gaza comme en Cisjordanie, contre la complicité active et passive des États impérialistes (et notamment de l’État français ; la vague promesse d’une reconnaissance de l’État palestinien ne s’accompagnant d’aucune sanction contre la puissance occupante). Lors du point d’information, outre le récit dramatique des derniers massacres commis par l’armée israélienne, l’attaque pirate commise par des drones israéliens au large de Malte contre une navire humanitaire de l’ONG Freedom Flotilla Coalition a été vivement dénoncée. A également été affirmée la nécessité de combattre les menées gouvernementales liberticides contre le mouvement de solidarité avec la Palestine (multiplication des poursuites pour de soi-disant “apologies du terrorisme”, dissolution du collectif Urgence Palestine, etc.) La solidarité avec le peuple palestinien est aussi un combat pour les libertés publiques !
Samedi 26 avril se tenait la fête départementale annuelle de Lutte ouvrière (LO), à Trélazé, dans une salle bien remplie. Plusieurs camarades de LO sont intervenus, notamment pour raconter l’histoire de leur intervention politique au CHU d’Angers depuis plus de 50 ans ou encore pour évoquer la montée du nazisme en Allemagne. La porte-parole de LO, Nathalie Arthaud, a développé ensuite son analyse de la situation mondiale, avec le risque accru de guerres provoquées par les rivalités inter-impérialistes. Un débat intéressant a suivi, dans lequel ont été évoquées les limites du syndicalisme et la nécessité de l’action politique.