Samedi 1er mars, c’est un demi-millier d’Angevin·e·s qui s’est rassemblé place du Ralliement puis a manifesté dans le centre-ville d’Angers en solidarité avec le peuple palestinien. Le plan de Trump de déportation des Gazaoui·e·s et son soutien à la violente accélération de la colonisation en Cisjordanie ont été vivement dénoncés par les différentes organisations intervenant en prélude à la manifestation (AFPS, Amnesty International, FO, UD CGT, LFI, NPA, PCF49 et Libre Pensée.), ainsi bien sûr que par les manifestant·e·s. Plus que jamais, liberté pour la Palestine !
La rapporteuse publique avait demandé à la justice administrative « l’annulation totale » de l’arrêté préfectoral qui a permis d’entamer en 2023 le chantier de l’A69 entre Castres et Toulouse. Après avoir longuement tergiversé, la justice administrative a fini par suivre cette demande. Le chantier, dont la mise en place s’était accompagnée de nombreuses violences policières contre les opposant·e·s (et encore plus contre l’environnement et la biodiversité), est légalement arrêté. Nous relayons ici le communiqué du NPA Tarn sud se réjouissant de cette victoire et appelant à la poursuite de la mobilisation.
À l’initiative du Collectif 8 mars (Planning familial, collectif Lucioles, Aides, Collages féministes, Attac, FSU, Solidaires...), une soirée féministe est organisée le samedi 1er mars à partir de 18h30 au Centre Jean Vilar à Angers. Ce sera un des préludes à la manifestation du samedi 8 mars, journée internationale pour les droits des femmes, à 15h40, place du Ralliement à Angers (Chorale, prise de parole, départ en manifestation).
Le scandale de l’établissement scolaire Notre-Dame de Bétharram remet sur le devant de la scène les violences faites aux enfants. La Ciivise (Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants) avait déjà rendu en 2023 un rapport accablant. Aujourd’hui, c’est bien la complicité de l’État, jusqu’au plus haut niveau, qui est mise en lumière.
Lundi 24 février, pour commémorer le triste anniversaire du début de la guerre impérialiste de Poutine contre l’Ukraine, deux rassemblements étaient organisés à Angers, le plus important l’étant par l’association culturelle de réfugié·e·s ukrainien·ne·s "Vychyvanka". Nous en faisons ici les comptes-rendus et publions en sus un article d’analyse de Gin et Elias Vola à paraître dans l’Hebdo L’Anticapitaliste - 743 : « Le 24 février 2025, l’Ukraine est entrée dans sa quatrième année de résistance face à l’agression à grande échelle de la Russie. »
Face aux marchandages abjects des USA trumpistes et de la Russie poutinienne, contre tous les autoritarismes et tous les impérialismes, le NPA-l’Anticapitaliste continue de soutenir le peuple ukrainien dans sa lutte pour son droit à l’autodétermination. Il appelle à manifester son soutien au peuple ukrainien le 23-24 janvier, aux côtés notamment du RESU (Réseau de solidarité avec l’Ukraine).
En déportant en masse les migrant·e·s illégaux aux États Unis, en proposant de faire la même chose avec les Palestiniens en Palestine, Trump veut donner corps au vieux rêve raciste et fasciste d’une société ethniquement « pure ». Il s’agit d’une insupportable continuation du génocide à l’œuvre à Gaza depuis 15 mois. Il faut continuer à l’affirmer : les Palestinien·ne·s sont chez eux, ils resteront chez eux. Et participer toutes et tous aux rassemblements de solidarité avec le peuple palestinien. Il y a urgence à réagir !
Aujourd’hui, les maquignonnages parlementaires ne nous permettent pas de gagner et de créer le rapport de forces. Demain, ce sera pareil. Il est donc urgent que notre unité se fasse dans la rue, dans les quartiers et les entreprises du privé comme dans les services publics contre l’extrême droite, les politiques régressives qui se succèdent sans fin. Toutes et tous ensemble, nous pouvons faire reculer le chaos écocide, raciste et austéritaire !
L’arrivée de Trump au pouvoir nous montre le danger mortel que l’extrême droite fait courir à l’humanité, aux classes populaires en particulier. Pour les classes populaires, il faut à tout prix s’opposer à ce que les dirigeant·e·s d’extrême droite prennent le pouvoir. En France en particulier, nous sommes menacé·e·s par le même type de dangers, qui sont liés à l’actuelle crise profonde du capitalisme. L’unité de la gauche et du mouvement ouvrier est une nécessité pour y faire face.
Hier, mercredi 22 janvier 2025, environ 350 salarié·e·s de l’usine Michelin ont manifesté dans le centre-ville de Cholet à l’appel de l’intersyndicale CFDT-CGT-SUD et du Comité de lutte. Et devant le refus de la direction d’entendre leurs revendications, la grève générale a été votée à 90% ce jeudi par les salarié·e·s choletais (et aussi vannetais). Leur combat ne s’arrêtera pas de sitôt !
- jeudi 2 octobre à 18h30 rassemblement de protestation contre les attaques de l’État d’Israël contre la Global Sumud Flotilla. Place du Ralliement à Angers.
- samedi 4 octobre de 14h30 à 18h : débats sur l’agriculture et les enjeux environnementaux. Salle Pelloutier, Bourse du travail d’Angers.
- samedi 4 octobre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du ralliement à Angers.
- lundi 3 novembre à 20h : « Les Antilles empoisonnées », projection-rencontre autour du documentaire de Nicolas Glimois, aux 400 coups à Angers (Festival AlimenTERRE).
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Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE. C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
- Soutien à la flottille pour Gaza, rassemblements partout en France ce soir ! (02/10/2025)
- Protégeons la flottille ! (01/10/2025)
- Reconnaitre le peuple Palestinien ! Protéger la flottille ! (24/09/2025)
- Une date de mobilisation maintenant : dégager Macron c’est possible ! (19/09/2025)
À l’école Dacier d’Angers est expérimentée depuis la rentrée une « rue école » fermée à la circulation des voitures de 8h20 à 8h50, afin que les enfants puissent y arriver tranquillement. Il n’y a pas encore d’installation permanente et ce sont les parents d’élèves qui tiennent la barrière avec un gilet jaune. Cette expérience - prévue pour le moment jusqu’à décembre - semble concluante et bien acceptée. Mais voici qu’au matin du 18 septembre, une voiture de la police nationale déboule en trombe dans la rue, alors même que les enfants sont en train de rentrer. Apercevant les gilets jaunes des parents, la maréchaussée avait vu rouge, imaginant quelque barrage revendicatif en cette journée de mobilisation nationale... Il a fallu détromper ces fins limiers. Comme quoi la retailleauderie paranoïaque ne développe pas la perspicacité !
Entre 230 et 250 personnes contre le massacre à Gaza cet après-midi du samedi 30 août, place du Ralliement, à Angers, avec les organisations habituelles : L’AFPS organisatrice de l’action depuis bientôt 2 ans, Mouvement de la Paix, PCF, JC, Amnesty international, LFI, UCL et NPA-A. Rendez-vous pris, pour samedi prochain.
Samedi 26 juillet 2025, au moins 220 Angevins ont de nouveau répondu présent pour le rassemblement hebdomadaire de la place du Ralliement. En préambule, l’AFPS49 a signalé qu’Angers avait eu la visite le 24 juillet de tout un aréopage de ministres dont le premier d’entre eux. Nous avions demandé audience, soit auprès de Mr Bayrou, soit auprès du ministre du commerce extérieur et des Français de l’étranger, Mr Laurent Saint-Martin. La préfecture a bien relayé et appuyé notre demande mais les ministres ou leurs conseillers n’ont pas daigné nous recevoir. Un rendez-vous téléphonique avec la conseillère de M. Saint-Martin nous a été promis pour le lendemain. Il n’a pas été honoré. Manque de temps ou manque de courage pour assumer la position de non-action de la France ? Des paroles, oui mais sans effets concrets. Alors où sont les actes forts et contraignants pour stopper enfin la famine organisée comme arme de guerre par Israël contre le peuple palestinien ? Dans le même ordre d’idée, nous avons évoqué l’annonce faite par le président de la République de son intention de reconnaître l’État de Palestine en septembre prochain lors de l’Assemblée générale de l’ONU. Pourquoi pas immédiatement alors que le parlement français a voté en ce sens il y a plus de 10 ans ? Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de voir mourir de faim plus de 2 millions de Gazaouis d’ici là ! Attendre deux mois de plus, c’est prendre le risque de reconnaître un État de Palestine qui ne sera plus qu’un cimetière ! Le communiqué de l’AFPS du 25/07 a été lu et commenté. Si aujourd’hui l’opinion mondiale oblige les responsables politiques à enfin bouger, c’est pour partie du fait de notre mobilisation indéfectible depuis 22 mois. Nous en avons conscience et c’est ce qui nous fait tenir, encore et encore. Puis une militante a lu le poème écrit à Gaza il y a quelques jours par Ziad Medoukh intitulé « La faim », texte qui nous a tous bouleversé. Deux autres militantes ont lu le long et poignant témoignage de Nour Elassi, jeune Gazaouie exfiltrée de Gaza par la France au début du mois. Elle est maintenant étudiante à Paris mais se sent coupable d’avoir laissé sa famille et ses amis. Nous en avons retenu : « J’ai l’impression d’avoir laissé mon âme sous les décombres et maintenant j’ai peur que quelqu’un marche dessus » et « Pour l’occupant, les mots sont plus dangereux que les balles ». Pour terminer nous avons tous ensemble écouté et chanté l’hymne palestinien « Mawtini » (Ma patrie).
Une nouvelle Pétition adressée au premier Ministre par l’intersyndicale CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, UNSA, FSU, SOLIDAIRES peut être signée en ligne, qui exige l’abandon des mesures de régression sociale et écologique annoncées par F. Bayrou. Pour ses rédacteurs, le problème de la dette, c’est d’abord le manque de recettes et il faut « ouvrir la discussion sur la progressivité de la fiscalité, la contribution des hauts revenus ou des patrimoines, et la légitimité de l’optimisation fiscale ! ». Il faut aussi mobiliser à la base pour créer un rapport de forces dans les lieux de travail et dans la rue. À cet égard, signer la pétition intersyndicale peut être un premier pas et donner confiance à toutes celles et tous ceux qui n’en peuvent plus de ce gouvernement aux ordres des capitalistes. Signons-là !
Au Ralliement à Angers le 19 juillet, environ 300 personnes se sont rassemblées pour la Palestine dans l’après-midi, essentiellement des militants de l’AFPS, avec quelques drapeaux du PCF, de la FI, et bien sûr du NPA. À 16h30, un 2e rassemblement, contre les bombardements israéliens en Syrie, a été moins fourni : environ 100 personnes (photo). Il y a eu trois interventions (2 hommes, 1 femme), essentiellement pour défendre l’unité du pays et le refus du sectarisme.