Un collectif large, constitué d’associations, de syndicats (CGT, Solidaires, SNESUP), de partis politiques (NPA, Ensemble, PCF, FI, EELV, AL...), appelle le samedi 26 mai, à une « marée populaire pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité » (voir le site mareepopulaire.fr). La FSU, s’y associe. Des manifestations devraient avoir lieu dans tout le territoire. Comme pour le 22 mai de la fonction publique, cette journée doit être un tremplin pour construire une grève de masse qui puisse arrêter le gouvernement Macron.
- À Angers, la « marée populaire » partira à 10h30, place du Ralliement. Un pique nique est prévu en fin de manifestation au même endroit.
Mardi 22 mai, ce sont toutes les organisations de salariéEs de la fonction publique qui appellent à la grève et à manifester. En Maine-et-Loire, la manifestation est appelée à 10h30 à Angers (pl. Leclerc), Cholet (pl. Travot) et Saumur (pl. Bilange). Outre les légitimes revendications salariales mises en avant par les organisations syndicales, ce sont les menaces de casse des statuts, de précarisation et de démembrement des services publics qui sont les principaux motifs de colère. Pour sauver les services publics, il est urgent de remonter la pente : mobilisation générale !
Environ 80 AngevinEs ont participé lundi 14 mai à la marche de solidarité avec les Palestinien.ne.s en lutte pour leurs droits, 70 ans après la Nakba. Cette marche s’est faite dans la douleur et la colère, alors que des dizaines de manifestant.e.s palestiniens désarmés venaient d’être assassinés et des centaines blessés sur ordre du gouvernement d’extrême droite israélien, alors que l’ambassade des États-Unis venait d’être transférée en grande pompe à Jérusalem. Face à la complicité des États occidentaux et arabes, la solidarité avec le peuple palestinien, la lutte pour la paix dans la justice doit s’affirmer par la mobilisation du plus grand nombre.
Un ancien militant parisien du PCF en 1968 (aujourd’hui angevin au NPA !) poursuit son témoignage, cette fois sur les journées décisives du 10 et du 13 mai 1968, telle qu’un étudiant parisien, déjà critique sur la ligne du parti, a pu les vivre.
Les mobilisations sociales se multiplient, avec des journées de grèves décisives contre la politique du gouvernement. Le 14 mai avec la « journée sans cheminotEs », le 15 avec la « marée blanche » des hospitalierEs, le 16 dans l’enseignement supérieur. Le 22 pour toute la fonction publique, et enfin le 26 la « marée populaire » contre le gouvernement appelée par les organisations politiques, associations et a priori la CGT, Solidaires et peut-être la FSU. Favorisons une explosion sociale, comme en Mai 68, pour inverser le rapport de force en faveur des salarié.e.s et de la construction d’un monde qui mette fin à la double exploitation des humains et de la nature sur laquelle repose un capitalisme toujours plus absurde et mortifère.
Un ancien militant parisien du PCF en 1968 (aujourd’hui angevin au NPA !) livre son témoignage sur la cruciale journée du 3 mai 1968, telle qu’un étudiant parisien, déjà critique sur la ligne du parti, a pu la vivre. 1er épisode !
Le 1er mai à Angers a été marqué par une belle manifestation unitaire CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF et UNL. En termes de chiffrage, ce fut un peu moins que l’an dernier, mais de très peu : environ 1300 personnes (auxquelles il faut ajouter 200 autres à Cholet, 150 à Saumur et 60 à Segré). Une grande majorité relevait de la CGT mais avec une présence honorable de Solidaires et de FO. En revanche, le secteur éducatif était peu présent en raison notamment des vacances scolaires. La tonalité anti-Macron était largement dominante ! Mai ne fait que commencer...
Dans un texte collectif lancé par Alain et Philippe Cyroulnik, plus de deux cents personnalités et militant.e.s (dont Alain Krivine, Christine Poupin, Olivier Besancenot et Philippe Poutou) appellent à combattre « toutes les formes de racisme quelles qu’elles soient ». Elles affirment que le récent « Manifeste contre le nouvel antisémitisme », rédigé par Ph. Val, signé notamment par M. Valls et N. Sarkozy mais aussi -hélas- par d’autres personnalités bien plus estimables, « par les amalgames qu’il fait, attise et renforce ce qu’il prétend dénoncer »...
1er, 3, 5, 22 mai... Le NPA appelle à se mobiliser, dans tous les secteurs, et à construire partout des collectifs de défense des cheminotEs, des services publics et contre Macron. Ainsi construirons-nous une opposition capable de faire céder un gouvernement des riches arrogant et répressif, et d’engager une contre-offensive du monde du travail !
Mardi 1er mai, jour international des travailleur.se.s, manifestons à 10h30 à Angers (pl. Imbach), Cholet (pl. Travot), Saumur (pl. Bilange) et Segré (pl. du Port) à l’appel unitaire de CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL !
Près de 2 500 personnes (selon la CGT ; 1800 selon la police) ont manifesté ce jeudi dans le centre-ville d’Angers (Ralliement, rue d’Alsace, bd Foch, rue de la préfecture, gare, rue Hoche, Toussaint, Ralliement) dans le cadre de la manifestation interprofessionnelle de « convergence des luttes » organisée par l’intersyndicale CGT-FSU-UNEF-UNL et des intersyndicales plus larges (avec Solidaires) de secteurs en lutte (cheminots, pas moins de 400 hospitaliers, université, lycéen.ne.s...). Une mobilisation encourageante, même si, à Angers, elle reste très en-deçà de ce qu’elle peut être dans les grandes villes voisines (Tours, Rennes, Nantes...) Contre Macron et son monde, la colère monte !
... | 820 | 830 | 840 | 850 | 860 | 870 | 880 | 890 | 900 |...
- samedi 15 novembre à 14h30 : Conférence d’Agnès Levallois, autrice de « Le livre noir de Gaza », Centre Jean Vilar à Angers.
- samedi 22 novembre à 15h : Rassemblement hebdomadaire de solidarité avec le peuple palestinien, place du Ralliement à Angers (lieu à confirmer).
- samedi 29 novembre : journée mondiale de solidarité avec la Palestine et
manifestation à 14h à Paris, place de la République. Départ en autocar organisé par l’AFPS49 : Inscriptions sur helloasso à 35€.
Nous suivre sur
- Facebook
- X
- Instagram
voir aussi à Angers
- Alter49.org
- Le Cercle 49.
- Stop à la criminalisation du mouvement de solidarité avec la Palestine (07/11/2025)
- Vote de la résolution RN : nostalgie coloniale (01/11/2025)
- Solidarité avec l’Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD) (27/10/2025)
- L’antisémitisme n’a pas sa place dans nos luttes (21/10/2025)
- Solidarité avec la grève générale et la lutte des peuples d’Équateur ! (19/10/2025)
Les militant·e·s et sympathisant·e·s du NPA49 saluent la mémoire de Stéphane Corbin, figure incontestée de la lutte pour l’égalité des droits des LGBTI en Maine-et-Loire, président de Quazar de 2008 à 2013 et de 2020 à 2023, animateur des marches des fiertés qui chaque année réunissent à Angers des milliers de personnes, dont une grande majorité de jeunes. Les obsèques de Stéphane se tiendront vendredi 31 octobre à 14h, église Saint-Martin-des-Champs à Angers. Salut à toi, Stéphane !
Un nouvel exemple vient d’être donné des liens étroits entre le groupuscule d’extrême droite Red-Angers et « Les Blancs de l’Ouest », charcutiers-entrepreneurs nationalistes chouchoutés par la municipalité d’Angers (ils ont un stand aux Halles Biltoki). Depuis octobre en effet, la personne embauchée pour tenir le stand aux Halles Biltoki et dans les marchés de Bouchemaine et Chalonnes, n’est autre qu’un néo-nazi connu pour avoir été un ambassadeur du Red lors de rassemblements fascistes (récupération honteuse du meurtre de la jeune Lola, « marche [néonazie] de Lukov » en Bulgarie, Légion hongroise, Academia Christiana, Institut Iliade, etc.) Le RAAF vient de publier à son propos un article instructif que l’on peut lire ICI.
Il y a aujourd’hui 82 ans que le résistant internationaliste nantais Robert Cruau était abattu à Brest par la Gestapo. Huit décennies après sa mort, Robert Cruau reste pour beaucoup un inconnu. Il fut pourtant un militant ouvrier internationaliste exceptionnel. Son histoire exemplaire reste à écrire. Lire la suite ici.
Comme partout en France jeudi 2 octobre, dans l’urgence, un rassemblement de solidarité avec les membres de la Flottille pour Gaza (Global Sumud Flotilla), arraisonnée illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne, avait été appelé à Angers par l’AFPS49 et ses partenaires, à 18h30 place du Ralliement. Le nombre de personnes rassemblées a rapidement gonflé de 200 au début jusqu’à 300. Ce fut un rassemblement dynamique et très visible. Malgré tout, alors que le génocide est plus que jamais en cours à Gaza, la solidarité en France reste très inférieure à ce qu’elle est ailleurs au niveau international. Il faut donc plus que jamais mobiliser autour de nous, notamment face à un État français décidément complice des crimes de guerre du gang fasciste de Netanyahou, un État qui ne proteste même pas quand le droit maritime international est foulé aux pieds par des pirates israéliens en uniforme...
Ce sont environ 3500 personnes qui sont descendues dans les rues angevines jeudi 2 octobre (2500 à Angers, 420 à Cholet, 200 à Saumur et 100 à Segré) à l’appel de l’intersyndicale CFDT, CGT, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU, Solidaires, UNEF et UE (FO n’avait pas signé l’appel départemental et a défilé en fin de cortège). C’est moitié moins que la semaine précédente, et un nouvel exemple des limites des journées de mobilisation à répétition, sans perspectives crédibles d’un affrontement central avec le pouvoir et les capitalistes qu’il représente. Mais cela peut devenir une mobilisation d’étape si nous réussissons un construire le nécessaire mouvement d’ensemble. Les militant·e·s du NPA49 ont distribué le dernier numéro de l’Anjou Rouge à la manifestation d’Angers.
À l’école Dacier d’Angers est expérimentée depuis la rentrée une « rue école » fermée à la circulation des voitures de 8h20 à 8h50, afin que les enfants puissent y arriver tranquillement. Il n’y a pas encore d’installation permanente et ce sont les parents d’élèves qui tiennent la barrière avec un gilet jaune. Cette expérience - prévue pour le moment jusqu’à décembre - semble concluante et bien acceptée. Mais voici qu’au matin du 18 septembre, une voiture de la police nationale déboule en trombe dans la rue, alors même que les enfants sont en train de rentrer. Apercevant les gilets jaunes des parents, la maréchaussée avait vu rouge, imaginant quelque barrage revendicatif en cette journée de mobilisation nationale... Il a fallu détromper ces fins limiers. Comme quoi la retailleauderie paranoïaque ne développe pas la perspicacité !